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Elle fut ouverte en 1803 sur l'emplacement de l'église du couvent des Carmes, bâtie en 1634 et démolie en 1796.<ref> ''Les rues de Rennes'', par Lucien Decombe, Alphonse Le Roy, éditeur - 1892</ref> | Prévue dans le cadre du lotissement conçu en 1798 pour diviser le vaste ilôt conventuel des Carmes, la rue amorce, en ville basse, la suite du plan orthogonal retenu pour la ville haute après l'incendie de 1720. <ref> Inventaire topographique, par Isabelle Barbedor - 1998</ref> Elle fut ouverte en 1803 sur l'emplacement de l'église du couvent des Carmes, bâtie en 1634 et démolie en 1796.<ref> ''Les rues de Rennes'', par Lucien Decombe, Alphonse Le Roy, éditeur - 1892</ref> | ||
Elle est bordée, sur une grande partie de sa rive ouest, par l'école de La Liberté. Au n°4 habita, de 1837 à 1843, le jeune Leconte de Lisle. ( '''*''' ) | Elle est bordée, sur une grande partie de sa rive ouest, par l'école de La Liberté. Au n°4 habita, de 1837 à 1843, le jeune Leconte de Lisle. ( '''*''' ) | ||
Version du 27 janvier 2012 à 10:22
La rue des Carmes, est une voie axée nord-sud, en prolongement de la rue du capitaine Alfred Dreyfus, allant du carrefour de la rue Vasselot et de la rue Saint-Thomas au boulevard de la Liberté.
Prévue dans le cadre du lotissement conçu en 1798 pour diviser le vaste ilôt conventuel des Carmes, la rue amorce, en ville basse, la suite du plan orthogonal retenu pour la ville haute après l'incendie de 1720. [1] Elle fut ouverte en 1803 sur l'emplacement de l'église du couvent des Carmes, bâtie en 1634 et démolie en 1796.[2]
Elle est bordée, sur une grande partie de sa rive ouest, par l'école de La Liberté. Au n°4 habita, de 1837 à 1843, le jeune Leconte de Lisle. ( * )
références
( * ) voir : rue Leconte de Lisle
