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« Rue Capitaine Maignan » : différence entre les versions
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Dans le cadre du partage colonial de l'Afrique entre Grande-Bretagne et France, il s'agit d'un épisode de la conquête du Tchad par la France. Les Français prennent, le 27 novembre 1913, la zaouïa d'Aïn Galaka, victoire déterminante pour le contrôle du Borkou, en partie nord du Tchad, où une résistance senoussiste d'origine lybienne s'oppose à eux. La bourgade est prise après bombardement au canon et combats de maison à maison. Les troupes françaises y perdent le capitaine Maignan, un lieutenant, un adjudant et douze tirailleurs. <ref> ''Le Centre Africain français, Thcad, Borkou, Ennedi'', par Jean Ferrandi. éd. Charles-Lavauzelle - 1930</ref>. Les sennoussistes perdent environ 130 hommes sur 200 <ref> ''La légende noire de la Sanûsiyya, une confrèrie musulmane saharienne sous le regard français (1840-1930)'', par Jean-Louis Triaud; vol. 2 éd. Maison des Sciences de l'homme</ref> | |||
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Version du 24 janvier 2012 à 10:47
La rue du capitaine Maignan est une voie axée est-ouest reliant la rue d'Isly à la rue du docteur Francis Joly, limitant au sud la quartier du Colombier.
Son nom rappelle :
le capitaine Maignan
mort au Tchad
( 1883 - Tchad, 1913)
Dans le cadre du partage colonial de l'Afrique entre Grande-Bretagne et France, il s'agit d'un épisode de la conquête du Tchad par la France. Les Français prennent, le 27 novembre 1913, la zaouïa d'Aïn Galaka, victoire déterminante pour le contrôle du Borkou, en partie nord du Tchad, où une résistance senoussiste d'origine lybienne s'oppose à eux. La bourgade est prise après bombardement au canon et combats de maison à maison. Les troupes françaises y perdent le capitaine Maignan, un lieutenant, un adjudant et douze tirailleurs. [1]. Les sennoussistes perdent environ 130 hommes sur 200 [2]