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==La tour-beffroi d'Ancien Régime==
==La tour-beffroi d'Ancien Régime==
[[Fichier:Beffroi.png|100px|right|thumb|Le beffroi détruit lors de l'incendie de 1720]]
[[Fichier:Beffroi.png|100px|right|thumb|Le beffroi détruit lors de l'incendie de 1720]]
La tour-beffroi se dressait non loin de la [[place du Champ-Jacquet]] quand la maison de ville se trouvait [[rue de la Monnaie]]. Elle occupait une grande place dans la ville et la vie des Rennais. Par sa hauteur (22 m), elle fait partie des points identifiables sur les vues anciennes. Aussi les voyageurs remarquent-ils le beffroi et utilisent probablement son horloge, tandis que sa cloche participe aux cérémonies publiques<ref>Bruno Isbled. ''Moi, Claude Bordeaux... Journal d'un bourgeois de Rennes au 17e siècle''. Éditions Apogée. Page 25.</ref>.
La tour-beffroi se dressait non loin de la [[place du Champ-Jacquet]] quand la maison de ville se trouvait [[rue de la Monnaie]]. Elle occupait une grande place dans la ville et la vie des Rennais. <ref>[[Rennes et Rabelais]]</ref> Par sa hauteur , elle fait partie des points identifiables sur les vues anciennes. Aussi les voyageurs remarquent-ils le beffroi et utilisent probablement son horloge, tandis que sa cloche participe aux cérémonies publiques<ref>Bruno Isbled. ''Moi, Claude Bordeaux... Journal d'un bourgeois de Rennes au 17e siècle''. Éditions Apogée. Page 25.</ref>.


==Références==
==Références==

Version du 15 novembre 2023 à 16:19

Le beffroi de Rennes est la tour située au milieu du bâtiment de l'hôtel de ville, construit à partir de 1742.

La tour-beffroi d'Ancien Régime

Le beffroi détruit lors de l'incendie de 1720

La tour-beffroi se dressait non loin de la place du Champ-Jacquet quand la maison de ville se trouvait rue de la Monnaie. Elle occupait une grande place dans la ville et la vie des Rennais. [1] Par sa hauteur , elle fait partie des points identifiables sur les vues anciennes. Aussi les voyageurs remarquent-ils le beffroi et utilisent probablement son horloge, tandis que sa cloche participe aux cérémonies publiques[2].

Références

  1. Rennes et Rabelais
  2. Bruno Isbled. Moi, Claude Bordeaux... Journal d'un bourgeois de Rennes au 17e siècle. Éditions Apogée. Page 25.