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En septembre [[1939]], le collège est réquisitionné pour le service de mobilisation puis pour le service de santé ; à Pâques 1940, c'est un hôpital militaire anglais. Lors du [[bombardement du 17 juin 1940]], la chapelle perd ses vitraux et se lézarde. Puis c'est un hôpital allemand. À la rentrée d'octobre 1944 une partie est occupée par les troupes américaines. En 1944 "Le petit collège" fonctionnait dans les bâtiments du Carmel tenu par les religieuses de Saint-Méen. C'est en retard, en mai 1946, que fut célébré le centenaire de l'établissement. | En septembre [[1939]], le collège est réquisitionné pour le service de mobilisation puis pour le service de santé ; à Pâques 1940, c'est un hôpital militaire anglais. Lors du [[bombardement du 17 juin 1940]], la chapelle perd ses vitraux et se lézarde. Puis c'est un hôpital allemand. À la rentrée d'octobre 1944 une partie est occupée par les troupes américaines. <ref> [[L'enseignement à Rennes pendant la seconde guerre mondiale]]</ref> En 1944 "Le petit collège" fonctionnait dans les bâtiments du Carmel tenu par les religieuses de Saint-Méen. C'est en retard, en mai 1946, que fut célébré le centenaire de l'établissement. | ||
Le collège compte 800 élèves en 1951, y compris ceux des classes préparatoires à Saint-Cyr et à H.E.C.<ref>[[Rennes d'histoire et de souvenirs]] quatrain 61</ref> Avec la ''loi Debré'' de décembre 1959, il fonctionne sous contrat d'association avec l'État. | Le collège compte 800 élèves en 1951, y compris ceux des classes préparatoires à Saint-Cyr et à H.E.C.<ref>[[Rennes d'histoire et de souvenirs]] quatrain 61</ref> Avec la ''loi Debré'' de décembre 1959, il fonctionne sous contrat d'association avec l'État. |
Version du 28 avril 2020 à 09:40
C'est Monseigneur Godefroy Brossays Saint-Marc qui fonda le collège à l'usage des enfants de familles catholiques, la loi Falloux ayant accordé cette possibilité. Il acheta la maison située juste après l'hôtel de Caradeuc, au n° 3 de l'ancienne rue de Fougères (actuellement rue Général Maurice Guillaudot) et y ouvrit la pension Brécha, du nom de son premier supérieur, sportif d'à peine 30 ans. On y comptait 7 élèves en 1842, 64 en 1845.
Mais très vite il faut plus grand et le cardinal achète de ses deniers la propriété de la Barre-Saint-Just, terrain situé hors la ville entre le boulevard de Sévigné et la rue de Fougères et il commence les constructions d'une belle ordonnance classique, tracée par l'architecte Charles Langlois, à toit de tuiles dans cette ville bretonne, avec de vastes cours de récréation bordées de cloîtres, ombragées de marronniers et à l'ouest, un jardin anglais avec cèdres. Le frère Henri[1] y déploya ses talents d'arboriculteur. À l'ombre du collège est installé un orphelinat. Malgré les lois de séparation de l'Église et de l'État de 1905, le collège subsistera jusqu'en 1911, et sera reconstruit à l'emplacement d'un ancien monastère de Carmélites, rue de Paris sous l'égide de la Société de l'enseignement libre.
On commença par arracher 10 000 tonnes de roche dure et 18 mois après le nouveau collège, conçu par l'architecte Henri Mellet, dans le style du précédent - qu'on s'attendrait à trouver plutôt à Montpellier - ouvrait, le 1er octobre 1912 avec sa large avenue à rampe et perron combinés, menant au bâtiment central entouré de deux campaniles Une vaste chapelle, dessinée par l'architecte Mellet, y fut adjointe en 1926 dans le même style. En 1918 le collège instruisait plus de 400 élèves.
La devise donnée au collège fut : Pro Deo et Patria (Pour Dieu et la patrie).
Nombreux furent les anciens élèves qui tombèrent au cours des guerres pour la patrie. On trouve gravés aux piliers de granit des arcades autour de la porte centrale les 330 noms des anciens, morts pour la France lors de la guerre 1914-18 (hôpital militaire temporaire N°4).[2] 57 furent tués pendant la guerre 1939-45. Pendant ces guerres le collège servit d'hôpital militaire. 14 000 blessés y passèrent pendant la première guerre mondiale. On enregistra aussi 29 tués pendant la guerre d'Indochine et 16 pendant celle d'Algérie.
En septembre 1939, le collège est réquisitionné pour le service de mobilisation puis pour le service de santé ; à Pâques 1940, c'est un hôpital militaire anglais. Lors du bombardement du 17 juin 1940, la chapelle perd ses vitraux et se lézarde. Puis c'est un hôpital allemand. À la rentrée d'octobre 1944 une partie est occupée par les troupes américaines. [3] En 1944 "Le petit collège" fonctionnait dans les bâtiments du Carmel tenu par les religieuses de Saint-Méen. C'est en retard, en mai 1946, que fut célébré le centenaire de l'établissement.
Le collège compte 800 élèves en 1951, y compris ceux des classes préparatoires à Saint-Cyr et à H.E.C.[4] Avec la loi Debré de décembre 1959, il fonctionne sous contrat d'association avec l'État.
En septembre 1992 fut célébré son cent-cinquantenaire.
L'ensemble Saint-Vincent - Providence - Palestine, fusion des établissements éponymes en 1969 compte 2000 élèves en 1992. [5]
En 2018, l'établissement Saint-Vincent Providence comprenant une école maternelle et primaire, un collège, un lycée et une école préparatoire compte environ 2000 élèves.
Les différents lieux de Saint Vincent
Les différents lieux de Saint Vincent : La façade du lycée Saint-Vincent à été réalisée par Henri Mellet dans un style italien. Du devant de la façade on peut observer un campanile à gauche, et un belvédère à droite, le campanile comporte la cloche qu'on entend tous les matins. Le belvédère sert à voir l'ensemble de Rennes.
La chapelle de Saint-Vincent comporte de nombreux vitraux ainsi qu'un belvédère qui est totalement vide et dans lequel on ne peut pas monter, il sert seulement à montrer l'emplacement de Saint-Vincent dans Rennes grâce à sa hauteur. Dans Saint-Vincent, on peut observer des lieux d'architectures différentes et des locaux plus récents comme l'amphithéâtre et aussi le CDI (dans les années 2000).
Sportifs Passés par St-Vincent de Paul :
Stéphane Heulot : cycliste Français, il fut élève à St-Vincent de Paul durant les années 80. Il remporta le Trophée des grimpeurs en 1996 ou encore la Polynormande deux ans plus tard
Maud Herbert : elle pratique la planche à voile, elle fut élève de St-Vincent de Paul durant les années 80. Championne du monde 1991à Singapour
Championne du monde 1992 à Cadix
Championne du monde 1994 au Canada
Championne du monde 1995 à Port Elisabeth, Afrique du Sud
Championne du monde 1996 à Haïfa, Israël, sa sœur Claire se classe 4ième
Championne d'Europe 1990 à Middelkerke, Belgique
Championne d'Europe 1991 à Puck, Pologne, Anne Herbert seconde
Championne d'Europe 1992
Championne d'Europe 1993
Championne d'Europe 1994
Championne d'Europe 1995
Championne d'Europe 1996
Jeux Olympiques :
Barcelone 4ème
Atlanta 8ème
Victor Coroller : Athlète Français, spécialisé dans le 400 m haies. Il fut élève de Saint-Vincent de Paul en 2010. Il fut champion de France cadet en 2014. En 2015 il remporta le titre de champion de France junior, et remporta aussi une médaille d'or au 400m haies lors des Championnats d'Europe juniors
Date | Compétition | Lieu | Résultat | Épreuve | Temps |
---|---|---|---|---|---|
2014 | Jeux olympiques de la jeunesse | Nankin | 3e | 400 m haies | 51 s 19 |
2015 | Championnats d'Europe juniors | Eskilstuna | 1er | 400 m haies | 50 s 53 |
2017 | Championnats d'Europe espoirs | Bydgoszcz | 4e | 400 m haies | 49 s 96 |
3e | 4 x 400 m | 3 min 5 s 24 |
Alexandre Nicoue Rugbyman à l'ASM. Il étudia à Saint-Vincent de Paul en 2010.
L'architecture de Saint-Vincent
Depuis la création de Saint-Vincent en 1842, le lycée a d'abord été situé à l'emplacement de l'actuel Lycée Jean Macé. Depuis sa création en 1912, par l'architecte Charles Langlois, le bâtiment s'est agrandi en traversant les guerres et les époques. Il a d'abord servi de lycée puis d'hôpital de guerre. L'architecte a voulu réaliser un bâtiment de style Néoroman, composé de tuiles oranges et de grands murs blancs,qui enferment les 7 cours, et qui donnent une impression de postérité et de puissance. Les bâtiments sont lettrés et vont de A à I, en fonction de leur date de création.
Les lieux insolites et les détails de Saint Vincent
Le bâtiment n'a pas toujours été situé rue de Paris. L'ancien lycée Saint-Vincent était localisé à l'emplacement de l'actuel Jean Macé, près de la Barre Saint-Just. En 1841, Godefroy Brossays Saint-Marc est appelé au siège épiscopal de Rennes à l'âge de 38 ans. Un an plus tard, il décide de fonder une nouvelle institution scolaire doublée d'un internat qui réponde à la fois aux besoins pressants de personnes bien instruites et au souhait de contourner le monopole de l'État sur le lycée. Saint-Vincent ne tarde pas à dépasser le seuil des 300 élèves et à devenir le premier établissement secondaire de Rennes. Il est animé et dirigé par des prêtres du diocèse. En 1905, la loi de séparation de l'Église et de l'État est votée. Un an après, les bâtiments sont nationalisés. Mais couverts par un bail légal depuis 1903, les enseignants, ecclésiastiques et laïcs, sont protégés pour six ans. En 1912, un nouvel établissement, dans le même style toscan, plus vaste et plus majestueux que l'ancien, sort de terre à l'est du jardin du Thabor.
En 1914, le supérieur met ses bâtiments à la disposition du service de santé des armées et Saint-Vincent devient un hôpital militaire. 330 anciens, dont beaucoup de jeunes officiers, meurent au combat du premier conflit mondial. Leurs noms sont inscrits sur les piliers qui supportent les arches de la grande entrée.
Entre 1925 et 1926, la construction de la grande chapelle, chef d'œuvre d'un style néoroman sobre, vient couronner une grande entreprise de reconstruction. Cette chapelle possède la particularité d'être exceptionnellement grande pour un établissement scolaire religieux.
Saint-Vincent redevient un hôpital militaire pendant toute la durée de la Seconde Guerre mondiale, mais sous quatre drapeaux successifs (français, anglais, allemand, américain). 117 anciens viennent ajouter leur nom à la longue liste de soldats tombés « pro Deo et Patria ».
D'abord pensionnat, puis collège et lycée, l'établissement devient l'ensemble scolaire Saint-Vincent Providence avec l'adhésion de l'école de la Palestine en 1969. Aujourd'hui, un internat mixte est établi dans les locaux de la Providence, au 75 rue de Paris.
Les chambres des professeurs étaient situées au troisième et dernier étage. Les enseignants étaient des prêtres pour la plupart, même si on comptait quelques laïcs. Quand on pénètre dans le couloir des chambres, on peut apercevoir à notre gauche un dessin. Pour la petite anecdote, il fut réalisé par un élève de nuit, et un des prêtres l'ayant entendu vint à sa rencontre, et au lieu de le punir pour son escapade nocturne, le laissa finir son œuvre, trouvant le dessin beau et réussi. Celui-ci, extrêmement bien conservé, est encore visible sur le mur de l'entrée du campanile. Les chambres, quant à elles, ne sont plus habitées depuis l'époque du départ des prêtres. Utilisées un temps pour accueillir les invités de passage, elles sont aujourd'hui laissées à l'abandon et à accès restreint, l’électricité et l'eau courante étant coupées depuis longtemps à cet étage. Si un jour vous avez la chance de visiter cet endroit insolite, vous ressentirez peut-être l'étrange impression que ces petites chambres n'ont été quittées que le matin même, tant par la conservation du lieu que par son aspect habité, comme figées dans le temps.
L'oratoire reste une des particularités de Saint-Vincent. Localisé dans le grand hall, il permet aux élèves qui le souhaitent de venir se recueillir le matin, avant les cours. On notera la présence d'une plaque commémorative au nom du tout premier directeur, plaque encastrée dans le sol de cet oratoire.
Entre l'école des garçons (Saint-Vincent) et l'école des filles (Notre-Dame) existait à l'époque un mur, séparant les deux établissements. Depuis la réunification des deux écoles, le mur n'existe plus même si un bout de celui-ci peut encore être aperçu entre la chapelle et l’école primaire.
Comme vous avez peut-être pu l'apercevoir, deux tours dominent l'entrée principale de Saint-Vincent, rue de Paris. Ce sont en réalité un campanile, à gauche (en entrant par l'allée), contenant une cloche en son sommet, et à sa droite, un belvédère qui à l'époque de sa construction offrait une des vues les plus imprenables sur la ville de Rennes. Si on ne peut pas accéder au campanile, trop dangereux, on peut toujours monter par le belvédère par le couloir desservant les anciennes chambres des professeurs, même si son accès est limité.
Les trois couleurs représentatives de Saint-Vincent
Le lycée Saint-Vincent situé au centre de Rennes près du Parc du Thabor est représenté par trois couleurs distinctes : le rouge, le blanc, et le noir. Ces trois couleurs correspondent aux trois types de pierres utilisées à la construction de l'établissement en 1912.
Chaque couleur a une signification particulière. Le rouge, pour le sang du Christ, le blanc pour la pureté et le noir pour les prêtres. Les pierres rouges sont des briques, les pierres blanches sont du grès et les pierres noires sont des pierres de schiste. Le grès provient de Saint-Germain, et les pierres de schiste proviennent de Pont-Réan.
Les couleurs du Roazhon Park sont à l'origine celles de Saint-Vincent, en effet, Saint-Vincent avait prêté au stade rennais des maillots qui deviendront un fameux symbole.
Chapelle Saint-Vincent :
La chapelle de Saint-Vincent, imaginée par l'architecte Henri Mellet a été construite entre 1924-1926. Elle est inspirée de l'église de Sonyère. Son style romano-byzantin est caractérisé par la présence de voutes et d'une coupole. Elle est bâtie avec des matériaux en provenance des alentours de Rennes, notamment du schiste, du grès, des briques et de la tuile. Elle est construite en hauteur pour être au même niveau que le reste du bâtiment, et peut accueillir environ 400 élèves.
La chapelle est orientée à l'est (au soleil levant), à l'intérieur on distingue près d'une centaine de vitraux, dont trois imposantes rosaces représentant la Trinité (au sud), la vierge Marie (au nord) et la croix (à l'ouest). Derrière l'autel, on remarque sept vitraux où figurent : Saint-Yves, Jeanne d'Arc, Charles de Foucault, Saint-Vincent, Sainte-Genièvre, Saint-Louis et Sainte-Thérèse. Les vitraux sont disposés de façon à avoir un maximum de lumière dans la chapelle. Un orgue importé d'Angleterre se trouve au-dessus de l'entrée. Il est positionné de manière à pouvoir laisser la rosace de la croix visible.
L'autel actuel de la chapelle a été consacré le 17 mai 1946.
Personnes connues passées par l’école Saint-Vincent
Après leur passage à Saint-Vincent ces personnes se sont dirigées dans plusieurs domaines comme la presse, les finances publiques, l'architecture, la politique ou encore la télévision :
- Christian Noyer, né le 6 octobre 1950 à Soisy-sous-Montmorency (Seine-et-Oise), est un haut fonctionnaire français. Il est membre du Haut Conseil des finances publiques.
- François Régis Hutin, né le 26 juin 1929 à Rennes et mort le 10 décembre 2017 dans la même ville, est un journaliste et patron de presse français, président du directoire du grand quotidien régional Ouest-France.
- Samuel Étienne est un journaliste et animateur de télévision et de radio français, né à Rennes (Ille-et-Vilaine) le 20 mai 1971.
- Christian de Portzamparc, né le 9 mai 1944 à Casablanca au Maroc, est un architecte et urbaniste français diplômé de l’École des Beaux-Arts de Paris en 1969. Il crée son agence, l’Atelier Christian de Portzamparc, en 1980.
- Pierre Méhaignerie, né le à Balazé (Ille-et-Vilaine), est un homme politique français. Ministre d'État, garde des Sceaux, ministre de la Justice de 1993 à 1995, il est maire de Vitré et président de Vitré Communauté.
- Yves Cochet, Ministre de l'Environnement et de l'Aménagement du Territoire en juin 2001
Notes et références
- ↑ rue du frère Henri
- ↑ Guerre de 1914. Hôpitaux militaires temporaires
- ↑ L'enseignement à Rennes pendant la seconde guerre mondiale
- ↑ Rennes d'histoire et de souvenirs quatrain 61
- ↑ plaquette du 150e anniversaire -1842-1992 de Saint-Vincent - Providence - Palestine - 1992
RENAN LUCE
Renan Luce naît le 5 mars 1980 à Paris mais vit toute son enfance et son adolescence en Bretagne, à Plourin-lès-Morlaix (près de Morlaix, dans le Finistère). Il commence sa formation musicale en participant avec son frère Damien Luce et avec sa sœur Claire à une chorale, puis commence l'étude du piano classique avec Damien. Il poursuit ensuite son apprentissage aux conservatoires de Brest puis de Saint-Brieuc. Il remplace alors le piano par le saxophone et apprend seul la guitare en composant ses premières chansons.
Après deux ans de classe préparatoire à (au lycée Saint-Vincent), où il se produit dans des bars et quelques festivals (première partie de Matmatah), il est admis à l'École supérieure de commerce de Toulouse, aujourd'hui Toulouse Business School. Dans le cadre de ses études, il compose deux chansons et les enregistre sur un disque vendu à la bulle dans le cadre de son projet Delta, au profit d'une association humanitaire, Escenciel, qui aide une école de Madagascar.
Après ses deux années d'études à Toulouse , il s'installe à Paris et décide rapidement de se consacrer exclusivement à la création de chansons et au spectacle. Il rencontre rapidement son éditeur, Olivier Lefebvr (Universal Publishing), puis son manager, Jeff génie , qui l'installe pour plusieurs mois de concerts au théâtre Le Mery (Place de Clichy). On croise déjà dans le public des fans de la première heure, comme le chanteur Renaud ou bénabar, et beaucoup de directeurs artistiques.
Il signe son contrat de disque chez Barclays fin 2005.
Patrick Le Lay
né le 7 juin 1942 à Saint-Brieuc dans les Côtes-d'Armor, est un ingénieur et cadre dirigeant, président-directeur général de la chaîne de télévision française TF1 de 1988 à 2008.
Le père de Patrick Le Lay, Pierre Le Lay, est un professeur de mathématiques normalien. La famille le Lay vit pendant la Seconde Guerre mondiale à Plémet, commune où se réfugie la famille d'Abraham Drucker, père de Michel Drucker. Pierre Le Lay a sauvé la mère de Michel Drucker (enceinte de ce dernier à ce moment) d'une arrestation par la Gestapo à la gare de Rennes 1,2.
Patrick Le Lay effectue une partie de sa scolarité au lycée Saint-Vincent de Rennes. Il étudie par la suite à l'école spécial des travaux publics puis au Centre des hautes études de la construction avant d'intégrer l'univers du bâtiment et travaux publics(BTP). Il est également ancien élève du Centre de perfectionnement aux affaires(CPA), l'«executive MBA» d'HEC.
* Sources tirés de Wikipédia
Galerie cartes postales
L'ancien Carmel de la rue de Paris et l'Orphelinat de la rue Jean Macé
L'Institution Saint-Vincent
Les locaux sont occupés aujourd'hui par le lycée Jean Macé
Institution Saint-Vincent. Vue générale depuis la rue Jean Guéhenno. Au premier plan, les jardins de Frère Henri (voir Rue Frère Henri). Coll. YRG
Pendant la guerre 1914-1918 , hôpital militaire temporaire n° 115
L'Ecole Saint-Vincent-de-Paul
57, rue de Paris
E. May-Rousselière, édit Rennes. Coll. YRG et AmR 44Z2026 à 44Z2037
Hôpital militaire temporaire N° 4
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