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Il entre au journal de Jules Vallès ([[1832]]-[[1885]]). | |||
Du 18 mars au 28 mai [[1871]], il devient délégué au Comité Central. | Du 18 mars au 28 mai [[1871]], il devient délégué au Comité Central. | ||
Arrêté le 21 juin [[1871]], il est condamné à mort le 17 février suivant, il n'a que 27 ans. Sa peine étant commuée en travaux forcés à perpétuité après 112 jours, il est envoyé d'abord au bagne de Toulon, puis en nouvelle Calédonie. | Arrêté le 21 juin [[1871]], il est condamné à mort le 17 février suivant, il n'a que 27 ans. Sa peine étant commuée en travaux forcés à perpétuité après 112 jours, il est envoyé d'abord au bagne de Toulon, puis en nouvelle Calédonie. | ||
L’armistice générale | L’armistice générale du 21 juin 1880 lui permet de rentrer en France le 27 novembre, à 37 ans, il reprend alors des activités dans la presse en devenant rédacteur de plusieurs journaux. | ||
Dix ans plus tard , il est élu Conseiller Municipal de Paris en [[1890]] et réélu en [[1893]]. | |||
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L' allée Louis Lucipia se trouve entre la rue Jules Vallès et l'écluse du Moulin du Comte. Cette voie fut dénommée par délibération du conseil municipal de la Ville de Rennes le 7 février 1983 puis prolongée par délibération du conseil municipal de la Ville de Rennes le 4 octobre 1999.
Elle rend hommage à:
Louis Lucipia[1]
Membre de la commune de Paris
Louis Lucipia est né à Nantes 
le 18 novembre 1843 et décédé en 1904 à l'âge de 61 ans. Son parcours le mena à être étudiant en Droit, journaliste, clerc d'huissier, membre de l'Internationale. Pendant la guerre de 1870-1871, il est capitaine dans un bataillon auxiliaire de génie. Signataires de la protestation du 7 janvier 1871 contre "l'inertie" du gouvernement de défense nationale à Paris pendant 4 mois.
Il entre au journal de Jules Vallès (1832-1885).
Du 18 mars au 28 mai 1871, il devient délégué au Comité Central.
Arrêté le 21 juin 1871, il est condamné à mort le 17 février suivant, il n'a que 27 ans. Sa peine étant commuée en travaux forcés à perpétuité après 112 jours, il est envoyé d'abord au bagne de Toulon, puis en nouvelle Calédonie. L’armistice générale du 21 juin 1880 lui permet de rentrer en France le 27 novembre, à 37 ans, il reprend alors des activités dans la presse en devenant rédacteur de plusieurs journaux.
Dix ans plus tard , il est élu Conseiller Municipal de Paris en 1890 et réélu en 1893. Il devient vice-président, puis ensuite président du conseil de l'ordre du grand Orient de France en 1895.
Sur la carte
Notes et références
- ↑ Biographie inspirée du travail de Bernard Fournier,Les gens de chez nous
