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Le '''boulevard de la Liberté''' est une voie du quartier centre de [[Rennes]]. Au sud de la [[Vilaine]], il relie la [[place de Bretagne]] à l'ouest à l'[[avenue Janvier]] à l'est, c'est l'une des artères principales du centre sud<ref>En référence à la Vilaine, qui traverse la ville d'est en ouest et divise ainsi la ville de Rennes.</ref>.
Le '''boulevard de la Liberté''' est une voie du quartier centre de [[Rennes]]. Au sud de la [[Vilaine]], il relie la [[place de Bretagne]] à l'ouest à l'[[avenue Janvier]] à l'est, c'est l'une des artères principales du centre sud<ref>En référence à la Vilaine, qui traverse la ville d'est en ouest et divise ainsi la ville de Rennes.</ref>.
    
    
Le boulevard a été aménagé sur l'ancien canal bordant les remparts de la troisième enceinte de la ville basse, appelé alors promenade des murs dont le projet de comblement, conçu en [[1855]] et dessiné par l'architecte de la ville, Vincent Boullée, apparaît sur le plan d'aménagement urbain du maire [[Ange de Léon des Ormeaux]], publié la même année. Il est réalisé avec les déblais provenant de la construction de la gare. La voie, large de 24 m, est formée d'un macadam en pierre de Malroche, en [[1859]]. Les platanes sont abattus en [[1895]], deux ans après la demande des riverains et remplacés car, en [[1923]], un conseiller municipal exprime sa crainte qu'ils ne soient coupés. La présence de bancs est attestée par une demande, formulée en [[1898]], afin d'en augmenter le nombre<ref>Inventaire topographique, par Isabelle Barbedor - 1999</ref>.
Le boulevard a été aménagé sur l'ancien canal bordant les remparts de la troisième enceinte de la ville basse, appelé alors promenade des murs dont le projet de comblement, conçu en [[1855]] et dessiné par l'architecte de la ville, Vincent Boullée, apparaît sur le plan d'aménagement urbain du maire [[Ange de Léon des Ormeaux]], publié la même année. Il est réalisé avec les déblais provenant de la construction de la gare. La voie, large de 24 m, est formée d'un macadam en pierre de Malroche, en [[1859]]. Les platanes sont abattus en [[1895]], deux ans après la demande des riverains et remplacés car, en [[1923]], un conseiller municipal exprime sa crainte qu'ils ne soient coupés. La présence de bancs est attestée par une demande, formulée en 1898, afin d'en augmenter le nombre<ref>Inventaire topographique, par Isabelle Barbedor - 1999</ref>.
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Le segment est du boulevard, à partir de l'avenue de la Gare, reçut en [[1862]] le nom de ''[[boulevard de l'Impératrice]]'', le segment ouest celui de "''boulevard du Prince impérial''" jusqu'au "''boulevard Napoléon III''", maintenant [[boulevard de la Tour d'Auvergne]]. Il reçut son actuel nom après la chute du Second Empire par délibération du conseil municipal de la ville de Rennes le 17 octobre [[1870]].
Le segment est du boulevard, à partir de l'avenue de la Gare, reçut en 1862 le nom de ''[[boulevard de l'Impératrice]]'', le segment ouest celui de "''boulevard du Prince impérial''" jusqu'au "''boulevard Napoléon III''", maintenant [[boulevard de la Tour d'Auvergne]]. Il reçut son actuel nom après la chute du Second Empire par délibération du conseil municipal de la ville de Rennes le 17 octobre [[1870]].
[[Fichier:Vue_a%C3%A9rienne_Rennes269.jpg|450px|left|thumb|Vue aérienne vers 1860. Au 1er plan à gauche, le canal de l'Arsenal qui deviendra le [[boulevard Sébastopol]]. Sur la Vilaine, mordant sur le nouveau quai un bâtiment de l'[[hôpital Saint-Yves]], et, à droite les douves qui vont être comblées pour faire place au boulevard de la Liberté]]
[[Fichier:Vue_a%C3%A9rienne_Rennes269.jpg|450px|left|thumb|Vue aérienne vers 1860. Au 1er plan à gauche, le canal de l'Arsenal qui deviendra le [[boulevard Sébastopol]]. Sur la Vilaine, mordant sur le nouveau quai un bâtiment de l'[[hôpital Saint-Yves]], et, à droite les douves qui vont être comblées pour faire place au boulevard de la Liberté]]


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==Patinage puis cinéma==
==Patinage puis cinéma==


Après la guerre de [[1870]], fut implanté en [[1896]], en bordure du [[Champ de Mars]], le monument aux morts d'Ille-et-Vilaine d'[[Emmanuel Dolivet]] (transféré en [[2007]] [[Contour de la Motte]]), mais le boulevard formait pendant près d'un siècle la limite nord de l'esplanade alors immense.
Après la guerre de [[1870]], fut implanté en [[1896]], en bordure du [[Champ de Mars]], le monument aux morts d'Ille-et-Vilaine d'[[Emmanuel Dolivet]] (transféré en 2007 [[Contour de la Motte]]), mais le boulevard formait pendant près d'un siècle la limite nord de l'esplanade alors immense.


A la fin du 19è siècle la folie du skating envahit la France, d'abord depuis Paris mais ensuite partout en Province. Il existe alors deux lieux à Rennes pour y pratiquer cette activité<ref>https://alter1fo.com/quand-rennes-dantan-bambochait-sur-des-patins-a-roulettes-132316</ref> : au n°16 [[rue de Penhoët]] se trouve l'''Omnium-City'' (aujourd’hui le commissariat de police, NDLR), et au n°20 '''boulevard de la Liberté''' un palais de patinage à roulettes, le ''Skating Palace'', ouvert en octobre 1910, occupé par un atelier de confection de chaussures durant la première guerre mondiale, et remplacé en [[1921]] par le cinéma ''Select-Palace rennais'' de 818 places, qui deviendra le cinéma ''Le Paris'' après la guerre<ref>[[anciennes salles de cinéma de Rennes]]</ref>.
A la fin du 19è siècle la folie du skating envahit la France, d'abord depuis Paris mais ensuite partout en Province. Il existe alors deux lieux à Rennes pour y pratiquer cette activité<ref>https://alter1fo.com/quand-rennes-dantan-bambochait-sur-des-patins-a-roulettes-132316</ref> : au n°16 [[rue de Penhoët]] se trouve l'''Omnium-City'' (aujourd’hui le commissariat de police, NDLR), et au n°20 '''boulevard de la Liberté''' un palais de patinage à roulettes, le ''Skating Palace'', ouvert en octobre 1910, occupé par un atelier de confection de chaussures durant la première guerre mondiale, et remplacé en [[1921]] par le cinéma ''Select-Palace rennais'' de 818 places, qui deviendra le cinéma ''Le Paris'' après la guerre<ref>[[anciennes salles de cinéma de Rennes]]</ref>.


L'élégant [[temple protestant du boulevard de la Liberté]] fut ouvert au culte en [[1882]].
L'élégant [[temple protestant du boulevard de la Liberté]] fut ouvert au culte en 1882.


== Bombardement ==
== Bombardement ==
Pendant la seconde guerre mondiale, le temple protestant fut mis à disposition des troupes d'occupation.
Pendant la seconde guerre mondiale, le temple protestant fut mis à disposition des troupes d'occupation.


La partie du boulevard entre l'avenue Janvier et la [[rue Maréchal Joffre]] reçut des bombes et les immeubles, y compris la [[caserne Kergus]]<ref>[[square de Kergus]]</ref>, au coin de l'avenue Janvier, furent détruits ou très endommagés, telle l'école. Des baraques provisoires - pour une dizaine d'années - furent construites le long du Champ de Mars. Dans les années soixante du siècle dernier un restaurant universitaire et la Salle omnisports (maintenant [[Le Liberté]]) furent construits le long du boulevard.
La partie du boulevard entre l'avenue Janvier et la [[rue Maréchal Joffre]] reçut des bombes et les immeubles, y compris la caserne Kergus<ref>[[square de Kergus]]</ref>, au coin de l'avenue Janvier, furent détruits ou très endommagés, telle l'école. Des baraques provisoires - pour une dizaine d'années - furent construites le long du Champ de Mars. Dans les années soixante du siècle dernier un restaurant universitaire et la Salle omnisports (maintenant [[Le Liberté]]) furent construits le long du boulevard.


== XXIe siècle ==
== XXIe siècle ==


Le restaurant universitaire dit « du Champ de Mars » a disparu pour laisser la place en [[2016]] à la nouvelle [[Cité internationale Paul Ricœur|Cité Internationale]], qui a été placée sous le patronage de [[Paul Ricœur]]<ref>http://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/rennes-la-cite-internationale-paul-ricoeur-ete-inauguree-4542648</ref>.
Le [[Restaurant universitaire du Champ de Mars|restaurant universitaire dit « du Champ de Mars »]] a disparu pour laisser la place en 2016 à la nouvelle [[Cité internationale Paul Ricœur|Cité Internationale]], qui a été placée sous le patronage de {{w|Paul Ricœur}}<ref>http://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/rennes-la-cite-internationale-paul-ricoeur-ete-inauguree-4542648</ref>.


Le parcours de [[Tout Rennes court]] le suit<ref>Les différents parcours de l'édition 2016: http://www.ouest-france.fr/sport/running/tout-rennes-court-les-horaires-et-les-parcours-de-la-35e-edition-4542785</ref>.
Le parcours de [[Tout Rennes court]] le suit<ref>Les différents parcours de l'édition 2016: http://www.ouest-france.fr/sport/running/tout-rennes-court-les-horaires-et-les-parcours-de-la-35e-edition-4542785</ref>.
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[[Fichier:H%C3%B4tel_l%C3%A9ofanti.png|350px|rightt|thumb|L'hôtel Léofanti, par [[Jean-Baptiste Martenot]], à l'angle de la [[rue Maréchal Joffre]] ]]


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[[Fichier:Bd_de_la_Libert%C3%A9_1963.png|left|600px|thumb|Le boulevard de la Liberté en 1963, avec la salle Omni-Sport (maintenant Le Liberté), au fond, à gauche la caserne du Colombier]]


== Sur la carte ==
== Sur la carte ==
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== Notes et Références ==
== Notes et Références ==

Version actuelle datée du 10 mai 2023 à 14:05

Le boulevard de la Liberté est une voie du quartier centre de Rennes. Au sud de la Vilaine, il relie la place de Bretagne à l'ouest à l'avenue Janvier à l'est, c'est l'une des artères principales du centre sud[1].

Le boulevard a été aménagé sur l'ancien canal bordant les remparts de la troisième enceinte de la ville basse, appelé alors promenade des murs dont le projet de comblement, conçu en 1855 et dessiné par l'architecte de la ville, Vincent Boullée, apparaît sur le plan d'aménagement urbain du maire Ange de Léon des Ormeaux, publié la même année. Il est réalisé avec les déblais provenant de la construction de la gare. La voie, large de 24 m, est formée d'un macadam en pierre de Malroche, en 1859. Les platanes sont abattus en 1895, deux ans après la demande des riverains et remplacés car, en 1923, un conseiller municipal exprime sa crainte qu'ils ne soient coupés. La présence de bancs est attestée par une demande, formulée en 1898, afin d'en augmenter le nombre[2].

Le boulevard de la Liberté, construit sur un ancien bras de la Vilaine (tracé en rouge) qui bordait les remparts[3]

Le segment est du boulevard, à partir de l'avenue de la Gare, reçut en 1862 le nom de boulevard de l'Impératrice, le segment ouest celui de "boulevard du Prince impérial" jusqu'au "boulevard Napoléon III", maintenant boulevard de la Tour d'Auvergne. Il reçut son actuel nom après la chute du Second Empire par délibération du conseil municipal de la ville de Rennes le 17 octobre 1870.

Vue aérienne vers 1860. Au 1er plan à gauche, le canal de l'Arsenal qui deviendra le boulevard Sébastopol. Sur la Vilaine, mordant sur le nouveau quai un bâtiment de l'hôpital Saint-Yves, et, à droite les douves qui vont être comblées pour faire place au boulevard de la Liberté

Explosion de mai 1825

Le 19 mai 1825 au matin, alors qu'on préparait la fête du couronnement du roi Charles X, par une belle matinée, Rennes fut secouée par une effrayante détonation : "une immense gerbe de feu, de fumée et de débris s'éleva dans l'air comme une éruption volcanique, puis tout rentra dans un silence de mort. La salle d'artifices venait de sauter sur les murs de Champ-Dolent (située à l'emplacement de la jonction de la rue Jean-Denis Lanjuinais et du boulevard)[4], ensevelissant sous les décombres de nombreux morts et blessés. En 1892, Lucien Decombe témoigne qu' "aujourd'hui encore, c'est avec une vive émotion que des vieillards nous ont raconté les émouvants détails de cette catastrophe dont ils ont été témoins."[5].

Temple protestant, cinéma Le Paris. Octobre 1963
Vue sur la rue d'Isly depuis son origine sur le boulevard de la Liberté

Patinage puis cinéma

Après la guerre de 1870, fut implanté en 1896, en bordure du Champ de Mars, le monument aux morts d'Ille-et-Vilaine d'Emmanuel Dolivet (transféré en 2007 Contour de la Motte), mais le boulevard formait pendant près d'un siècle la limite nord de l'esplanade alors immense.

A la fin du 19è siècle la folie du skating envahit la France, d'abord depuis Paris mais ensuite partout en Province. Il existe alors deux lieux à Rennes pour y pratiquer cette activité[6] : au n°16 rue de Penhoët se trouve l'Omnium-City (aujourd’hui le commissariat de police, NDLR), et au n°20 boulevard de la Liberté un palais de patinage à roulettes, le Skating Palace, ouvert en octobre 1910, occupé par un atelier de confection de chaussures durant la première guerre mondiale, et remplacé en 1921 par le cinéma Select-Palace rennais de 818 places, qui deviendra le cinéma Le Paris après la guerre[7].

L'élégant temple protestant du boulevard de la Liberté fut ouvert au culte en 1882.

Bombardement

Pendant la seconde guerre mondiale, le temple protestant fut mis à disposition des troupes d'occupation.

La partie du boulevard entre l'avenue Janvier et la rue Maréchal Joffre reçut des bombes et les immeubles, y compris la caserne Kergus[8], au coin de l'avenue Janvier, furent détruits ou très endommagés, telle l'école. Des baraques provisoires - pour une dizaine d'années - furent construites le long du Champ de Mars. Dans les années soixante du siècle dernier un restaurant universitaire et la Salle omnisports (maintenant Le Liberté) furent construits le long du boulevard.

XXIe siècle

Le restaurant universitaire dit « du Champ de Mars » a disparu pour laisser la place en 2016 à la nouvelle Cité Internationale, qui a été placée sous le patronage de Paul Ricœur Wikipedia-logo-v2.svg[9].

Le parcours de Tout Rennes court le suit[10].

Pignon, 33, boulevard de la Liberté donnant sur la rue Tronjolly, l'Unité, par Peter Downsbrough - 1990
"Dans cette église, chaque dimanche et jour férié, à 9h30 service évangélique pour l'armée. Pasteur à l'hôpital militaire." (de Wikimedia Commons)
Angle du bd de la Liberté et de l'avenue de la gare en 1892, avec à gauche de l'immeuble qui est toujours à l'angle avec la rue Saint-Hélier, la prison militaire alors appelée "Manutention Militaire" et où Alfred Dreyfus séjourna durant le procès. (photo E. Maignen)
Le boulevard de la Liberté, partie est vue de l'ouest
Le temple protestant en février 2015 (Photo Pymouss de Wikimedia Commons)
Angle boulevard de la Liberté et rue Poullain Duparc vers 1900
Même vue en juin 2016 (@2017 Google)
L'ancienne caserne de Kergus, détruite lors d'un bombardement en 1943,
L'hôtel Léofanti, par Jean-Baptiste Martenot, à l'angle de la rue Maréchal Joffre


Le boulevard de la Liberté en 1963, avec la salle Omni-Sport (maintenant Le Liberté), au fond, à gauche la caserne du Colombier

Sur la carte

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Notes et Références

  1. En référence à la Vilaine, qui traverse la ville d'est en ouest et divise ainsi la ville de Rennes.
  2. Inventaire topographique, par Isabelle Barbedor - 1999
  3. Le Vieux Rennes, par Paul Banéat. J. Larcher éd.
  4. Histoire de Rennes, p. 526, Emile Ducrest de Villeneuve et D. Maillet. Edouard Morault, libraire à Rennes - 1845
  5. Les Rues de Rennes, par Lucien Decombe, Alphonse Le Roy éditeur - 1892.
  6. https://alter1fo.com/quand-rennes-dantan-bambochait-sur-des-patins-a-roulettes-132316
  7. anciennes salles de cinéma de Rennes
  8. square de Kergus
  9. http://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/rennes-la-cite-internationale-paul-ricoeur-ete-inauguree-4542648
  10. Les différents parcours de l'édition 2016: http://www.ouest-france.fr/sport/running/tout-rennes-court-les-horaires-et-les-parcours-de-la-35e-edition-4542785















Galerie cartes postales

Boulevard de la Liberté, au niveau du carrefour avec les rues d'Isly et du maréchal Joffre. A droite, l'hôtel Léofanti (architecte J.-B. Martenot, 1875) . Carte postale Le Déley (ELD 222), voyagé 1915. Coll. YRG et AmR 44Z1310
A l'intérieur du Skating Palace. Carte photo de A. Ranchon. Coll. YRG

Skating Palace

contigu au temple protestant. On y pratique le patinage à roulettes.

Boulevard de la Liberté et le Skating. Edit. J. Sorel, Rennes. Coll. YRG

Temple protestant

Le Boulevard de la Liberté et la Caserne Kergus. Mary-Rousselière 1083. Coll. YRG et AmR 44Z1729

Caserne Kergus

Ancien hôtel des Gentilshommes. Sa façade est perpendiculaire au boulevard de la Liberté et le mur d'enceinte de la caserne est continu ; l'accès se fait seulement par la rue Saint-Thomas. Pour les cartes postales , voir : Rue Saint-Thomas

Ecoles

Pensionnat Notre-Dame du Vieux Cours : voir Rue du Vieux Cours

Boulevard de la liberté. A droite, la cité administrative. Carte postale Edition la Cigogne, Nantes, voyagé 1963. Coll. YRG

Cité Administrative

W1514.jpg

Les Halles

Poisonnerie, nouvelles Halles ou Halles centrales

Fours à Chaux de Lormandière et Chaussairie

Société anonyme des Fours à Chaux de Lormandière et Chaussairie. Siège social à Rennes. Carte postale R.R. 42. coll. YRG et AmR 44Z
Société anonyme des Fours à Chaux de Lormandière et Chaussairie. R.R. 45. Le Boulevard de la Liberté. Coll.YRG



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