A l'occasion des 80 ans de la libération de Rennes, (re)découvrez l'ensemble des
contributions autour de la Seconde Guerre mondiale et de la libération sur Wiki-Rennes.
« Rue de la Corderie » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
m (ajout précisions) |
||
Ligne 2 : | Ligne 2 : | ||
La délibération du conseil municipal de la Ville de Rennes du 20 mars 2017 acte la suppression de la voie, absorbée par la [[rue Jules Andrade]] prolongée. | La délibération du conseil municipal de la Ville de Rennes du 20 mars 2017 acte la suppression de la voie, absorbée par la [[rue Jules Andrade]] prolongée. | ||
Le nom de la voie fait référence à l'ancienne usine de corderie qui s'est installée dans les années 20 dans la [[plaine de Baud]] en bénéficiant des eaux de la [[Vilaine]]. | |||
L'association "''Loisirs au jardin''", créée en 1938 dans cette rue, proposait à de nombreuses familles l'exploitation de 54 parcelles de jardin. Elle a été contrainte à l'expulsion en 2013 suite à un référé en faveur de la société "''Territoires''", ce qui a ensuite entrainé sa dissolution<ref>[[Etape 6 : Les jardins ouvriers]]</ref>. | |||
== Sur la carte == | == Sur la carte == |
Version actuelle datée du 18 septembre 2024 à 15:17
La rue de la Corderie est une ancienne voie de Rennes. Elle se situait dans le quartier 2 : Thabor – Saint-Hélier – Alphonse Guérin et prenait son origine sur le boulevard Villebois-Mareuil. Cette voie fut dénommée impasse par délibération du conseil municipal de la Ville de Rennes le 7 février 1983 puis rue par délibération du conseil municipal de la Ville de Rennes le 2 juin 1986[1].
La délibération du conseil municipal de la Ville de Rennes du 20 mars 2017 acte la suppression de la voie, absorbée par la rue Jules Andrade prolongée.
Le nom de la voie fait référence à l'ancienne usine de corderie qui s'est installée dans les années 20 dans la plaine de Baud en bénéficiant des eaux de la Vilaine.
L'association "Loisirs au jardin", créée en 1938 dans cette rue, proposait à de nombreuses familles l'exploitation de 54 parcelles de jardin. Elle a été contrainte à l'expulsion en 2013 suite à un référé en faveur de la société "Territoires", ce qui a ensuite entrainé sa dissolution[2].
Sur la carte
Note et références
- ↑ Délibérations municipales, Archives de Rennes
- ↑ Etape 6 : Les jardins ouvriers