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'''Marcel Callo''' (6 décembre [[1921]] - 19 avril [[1945]]) est né [[rue des Tanneurs]] à [[Rennes]]<ref>https://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/il-y-70-ans-marcel-callo-mourait-mauthausen-3270120</ref>, dans une famille nombreuse, ouvrière et catholique. Entré apprenti à l'imprimerie Simon, au 14 [[rue du Pré Botté]], il devient ouvrier typographe. | '''Marcel Callo''' (6 décembre [[1921]] - 19 avril [[1945]]) est né [[rue des Tanneurs]] à [[Rennes]]<ref>https://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/il-y-70-ans-marcel-callo-mourait-mauthausen-3270120</ref>, dans une famille nombreuse, ouvrière et catholique. Entré apprenti, à 13 ans, à l'imprimerie Simon, au 14 [[rue du Pré Botté]], il devient ouvrier typographe. | ||
Il adhère en 1935 à la JOC (Jeunesse ouvrière chrétienne) après avoir été scout. Il se fiance. Il est réquisitionné au titre du STO (Service du travail obligatoire) le 19 mars [[1943]].<ref> [[Le S.T.O. pour des Rennais]] </ref> Il est envoyé à {{w|Zella-Mehlis}}, en Thuringe où il continue l'action jociste. Callo est arrêté le 19 avril [[1944]], emprisonné et déporté à {{w|Mauthausen}} le 24 octobre 1944 où il meurt d'épuisement le 19 avril [[1945]]. Il est béatifié en 1987 par le pape Jean-Paul II. | Il adhère en 1935 à la JOC (Jeunesse ouvrière chrétienne) après avoir été scout. Il se fiance. Il est réquisitionné au titre du STO (Service du travail obligatoire) le 19 mars [[1943]].<ref> [[Le S.T.O. pour des Rennais]] </ref> Il est envoyé à {{w|Zella-Mehlis}}, en Thuringe où il continue l'action jociste. Callo est arrêté le 19 avril [[1944]], emprisonné et déporté à {{w|Mauthausen}} le 24 octobre 1944 où il cotoie [[Jean Courcier]]. Il y meurt d'épuisement le 19 avril [[1945]]. Il est béatifié en 1987 par le pape Jean-Paul II. | ||
Une [[rue Marcel Callo|rue]] et une [[École maternelle et primaire Marcel Callo|école]], [[rue de Dinan]], portent son nom à Rennes : la plaque gravée à droite de l'entrée indique qu'il y a été élève de [[1927]] à [[1934]]. | Une [[rue Marcel Callo|rue]] et une [[École maternelle et primaire Marcel Callo|école]], [[rue de Dinan]], portent son nom à Rennes : la plaque gravée à droite de l'entrée indique qu'il y a été élève de [[1927]] à [[1934]]. | ||
Le 19 mars 2015, à l'occasion du 70ème anniversaire de sa mort, un "parcours Marcel Callo" fut inauguré à Rennes<ref>http://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/commemoration-39-45-un-parcours-marcel-callo-inaugure-rennes-3266149</ref> et le 18 avril 2021 une chapelle de la [ | Le 19 mars 2015, à l'occasion du 70ème anniversaire de sa mort, un "parcours Marcel Callo" fut inauguré à Rennes<ref>http://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/commemoration-39-45-un-parcours-marcel-callo-inaugure-rennes-3266149</ref> et le 18 avril 2021 une chapelle de la [[cathédrale Saint-Pierre]] de Rennes lui fut consacrée. | ||
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Marcel Callo (6 décembre 1921 - 19 avril 1945) est né rue des Tanneurs à Rennes[1], dans une famille nombreuse, ouvrière et catholique. Entré apprenti, à 13 ans, à l'imprimerie Simon, au 14 rue du Pré Botté, il devient ouvrier typographe.
Il adhère en 1935 à la JOC (Jeunesse ouvrière chrétienne) après avoir été scout. Il se fiance. Il est réquisitionné au titre du STO (Service du travail obligatoire) le 19 mars 1943.[2] Il est envoyé à Zella-Mehlis 
, en Thuringe où il continue l'action jociste. Callo est arrêté le 19 avril 1944, emprisonné et déporté à Mauthausen le 24 octobre 1944 où il cotoie Jean Courcier. Il y meurt d'épuisement le 19 avril 1945. Il est béatifié en 1987 par le pape Jean-Paul II.
Une rue et une école, rue de Dinan, portent son nom à Rennes : la plaque gravée à droite de l'entrée indique qu'il y a été élève de 1927 à 1934.
Le 19 mars 2015, à l'occasion du 70ème anniversaire de sa mort, un "parcours Marcel Callo" fut inauguré à Rennes[3] et le 18 avril 2021 une chapelle de la cathédrale Saint-Pierre de Rennes lui fut consacrée.
