A l'occasion des 80 ans de la libération de Rennes, (re)découvrez l'ensemble des
contributions autour de la Seconde Guerre mondiale et de la libération sur Wiki-Rennes.
« Station allemande de brouillage radio » : différence entre les versions
De WikiRennes
Aller à la navigationAller à la recherche (Page créée avec « Catégorie:Corps-Nuds right|150px|thumb|Pylone de station de brouillage Il y eut pendant la seconde guerre mondiale, à partie du début de 1943... ») |
Aucun résumé des modifications |
||
(Une version intermédiaire par le même utilisateur non affichée) | |||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
[[Catégorie:Corps-Nuds]] | [[Catégorie:Corps-Nuds]] | ||
[[Catégorie:Seconde Guerre mondiale|Radio]] | |||
[[Fichier:Pylone.jpg|right|150px|thumb|Pylone de station de brouillage]] | [[Fichier:Pylone.jpg|right|150px|thumb|Pylone de station de brouillage]] | ||
Il y eut pendant la seconde guerre mondiale, à partie du début de 1943, une station allemande de brouillage radio des émissions britanniques | Il y eut pendant la seconde guerre mondiale, à Corps-Nuds, à partie du début de 1943, une station allemande de brouillage radio des émissions britanniques, notamment de Londres,<ref> [[Radio Rennes - Bretagne]]</ref> écoutées clandestinement 5 ou 6 pylônes à treillis haut de 60m y étaient dressés, équipés d'une plate-forme avant le sommet, dans un cercle de 100 à 150m. Une cinquantaine de soldats y étaient affectés et étaient logés dans des maisons réquisitionnées, à raison d'une dizaine par maison. <ref> [[Évadé de Bretagne, en Angleterre l'étudiant renseigne sur Rennes occupé]]</ref> | ||
===Références=== |
Version actuelle datée du 30 novembre 2019 à 18:57
Il y eut pendant la seconde guerre mondiale, à Corps-Nuds, à partie du début de 1943, une station allemande de brouillage radio des émissions britanniques, notamment de Londres,[1] écoutées clandestinement 5 ou 6 pylônes à treillis haut de 60m y étaient dressés, équipés d'une plate-forme avant le sommet, dans un cercle de 100 à 150m. Une cinquantaine de soldats y étaient affectés et étaient logés dans des maisons réquisitionnées, à raison d'une dizaine par maison. [2]