A l'occasion des 80 ans de la libération de Rennes, (re)découvrez l'ensemble des
contributions autour de la Seconde Guerre mondiale et de la libération sur Wiki-Rennes.
« Rue Joüon des Longrais » : différence entre les versions
mAucun résumé des modifications |
m (précision dénomination) |
||
(2 versions intermédiaires par un autre utilisateur non affichées) | |||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
La '''rue | La '''rue Joüon des Longrais''' est située au sud du [[boulevard Émile Combes]] et relie la [[rue de Châtillon]] à la [[rue André Rouault]]. Elle fut dénommée par délibération du conseil municipal de la ville de Rennes le 11 décembre 1931. | ||
Elle porte le nom de : | Elle porte le nom de : | ||
Ligne 7 : | Ligne 7 : | ||
historien breton | historien breton | ||
(Saint-Malo, | (Saint-Malo, 22 octobre 1841 - Rennes, 4 janvier 1918) | ||
Engagé volontaire à la guerre de 1870, élève de l' | Engagé volontaire à la guerre de 1870, élève de l'École des Chartes, archiviste, on lui doit la publication d'un poème inédit du 12{{e}} siècle, ''La Chanson d'Aquin'', du trouvère breton qui a, à Rennes, sa [[rue Garin Trousseboeuf]]. Président de la société archéologique d'Ille-et-Vilaine en 1911-12, ses autres travaux furent entièrement consacrés à l'histoire de la Bretagne, notamment à l'époque de la Ligue et aux villes de Saint-Malo et de Rennes. | ||
Il repose au [[cimetière du nord|cimetière du Nord]]. | |||
== Sur la carte == | == Sur la carte == |
Version actuelle datée du 13 septembre 2017 à 13:20
La rue Joüon des Longrais est située au sud du boulevard Émile Combes et relie la rue de Châtillon à la rue André Rouault. Elle fut dénommée par délibération du conseil municipal de la ville de Rennes le 11 décembre 1931.
Elle porte le nom de :
Frédéric, Louis, Marie Joüon des Longrais
historien breton
(Saint-Malo, 22 octobre 1841 - Rennes, 4 janvier 1918)
Engagé volontaire à la guerre de 1870, élève de l'École des Chartes, archiviste, on lui doit la publication d'un poème inédit du 12e siècle, La Chanson d'Aquin, du trouvère breton qui a, à Rennes, sa rue Garin Trousseboeuf. Président de la société archéologique d'Ille-et-Vilaine en 1911-12, ses autres travaux furent entièrement consacrés à l'histoire de la Bretagne, notamment à l'époque de la Ligue et aux villes de Saint-Malo et de Rennes.
Il repose au cimetière du Nord.