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Cette voie rend hommage au Sous-Lieutenant Pochard, membre des Forces Françaises Combattantes et résistant déporté (1884 - 1944) | Cette voie rend hommage au Sous-Lieutenant Jean-Baptiste Emile Pochard, membre des Forces Françaises Combattantes et résistant déporté (28 avril 1884, Saint-Pierre-Quilbignon, ancienne commune du Finistère fusionnée depuis avril 1945 avec Brest<ref>https://archives.mairie-brest.fr/4DCGI/WEB_RegistreVisuImgAppelExterne/780555_4ExzxP4/ILUMP999</ref> - 13 novembre 1944, Neuengamme, Allemagne) | ||
==Sur la carte== | Engagé dès juin 1942, il est arrêté peu après le 2 février 1944, date à laquelle Victor Louviot<ref>[[rue Victor Louviot]]</ref> et son adjoint le capitaine Mabile<ref>[[rue Henri Mabile]]</ref> sont eux aussi arrêtés, à Rennes où il est emprisonné, puis transféré vers Compiègne à partir du 28 juin 1944, et enfin vers Neuengamme le 28 juillet 1944. | ||
Sa femme Germaine, née Phelippot, épicière [[rue Poullain Duparc]] à Rennes, loge des résistants dans une chambre isolée au rez-de-chaussée de l'immeuble<ref>http://memoiredeguerre.free.fr/biogr/lesage.htm</ref>. | |||
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La rue Sous-Lieutenant Pochard se situe dans le quartier 7 : Francisco Ferrer - Landry - Poterie et prend son origine sur la rue Jean-François Millet pour former un "U". Une voie de Rennes fut dénommée une première fois à Cleunay par délibération du conseil municipal de la Ville de Rennes le 9 octobre 1989, mais cette décision fut annulée. Elle fut finalement dénommée à son emplacement actuel au Landry par délibération du conseil municipal de la Ville de Rennes le 4 mars 1991 puis prolongée par délibération du conseil municipal de la Ville de Rennes le 8 juillet 1992[1].
Cette voie rend hommage au Sous-Lieutenant Jean-Baptiste Emile Pochard, membre des Forces Françaises Combattantes et résistant déporté (28 avril 1884, Saint-Pierre-Quilbignon, ancienne commune du Finistère fusionnée depuis avril 1945 avec Brest[2] - 13 novembre 1944, Neuengamme, Allemagne)
Engagé dès juin 1942, il est arrêté peu après le 2 février 1944, date à laquelle Victor Louviot[3] et son adjoint le capitaine Mabile[4] sont eux aussi arrêtés, à Rennes où il est emprisonné, puis transféré vers Compiègne à partir du 28 juin 1944, et enfin vers Neuengamme le 28 juillet 1944.
Sa femme Germaine, née Phelippot, épicière rue Poullain Duparc à Rennes, loge des résistants dans une chambre isolée au rez-de-chaussée de l'immeuble[5].