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« Papiers-chiffons-métaux » : différence entre les versions

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Dans les années 70, le club de Basket de Ste Thérèse et l'[[école Saint Jean]] organisaient une opération "papiers-chiffons-métaux". Tous les enfants du quartier, équipés de chariots fournis par l'association, passaient dans les rues et demandaient aux habitants de leur donner leurs vieux papiers-chiffons et métaux. Le tout était amené ensuite à l'école St Jean et à la salle de basket à côté, pour être trié puis vendu à un récupérateur.
Dans les années 70, le club de Basket de Sainte-Thérèse et l'[[école Saint-Jean]] organisaient une opération "papiers-chiffons-métaux". Tous les enfants du quartier, équipés de chariots fournis par l'association, passaient dans les rues et demandaient aux habitants de leur donner leurs vieux papiers-chiffons et métaux. Le tout était amené ensuite à l'école Saint-Jean et à la salle de basket à côté, pour être trié puis vendu à un récupérateur.
L'ambiance était bon enfant et très conviviale.
L'ambiance était bon enfant et très conviviale.


Il s'agissait déjà d'un tri sélectif avant que le mot ne soit inventé.
Il s'agissait déjà d'un" tri sélectif" avant que l'expression ne soit inventée.

Version actuelle datée du 19 août 2017 à 09:33


Dans les années 70, le club de Basket de Sainte-Thérèse et l'école Saint-Jean organisaient une opération "papiers-chiffons-métaux". Tous les enfants du quartier, équipés de chariots fournis par l'association, passaient dans les rues et demandaient aux habitants de leur donner leurs vieux papiers-chiffons et métaux. Le tout était amené ensuite à l'école Saint-Jean et à la salle de basket à côté, pour être trié puis vendu à un récupérateur. L'ambiance était bon enfant et très conviviale.

Il s'agissait déjà d'un" tri sélectif" avant que l'expression ne soit inventée.