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« Écouter chuchoter les murs » : différence entre les versions
(Présentation du projet "écouter chuchoter les murs" lors du 10ème apéro Codelab) |
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La forme du travail se définit au fur et à mesure des rencontres. En fonction du déplacement des personnes, les témoignages écoutés vont changer. La géolocalisation se situe donc au cœur de l'expérience. Par ce biais, la manière classique de concevoir la ville est bouleversée : par exemple, sur une carte banale, ne seront pas représentées les mosquées, mais dans l'optique du projet, une vision différente de la religion musulmane peut être mise en avant. | La forme du travail se définit au fur et à mesure des rencontres. En fonction du déplacement des personnes, les témoignages écoutés vont changer. La géolocalisation se situe donc au cœur de l'expérience. Par ce biais, la manière classique de concevoir la ville est bouleversée : par exemple, sur une carte banale, ne seront pas représentées les mosquées, mais dans l'optique du projet, une vision différente de la religion musulmane peut être mise en avant. | ||
[[Catégorie:Informatique libre]] |
Version actuelle datée du 5 mai 2011 à 15:56
Écouter chuchoter les murs est un projet de Thomas Bernardi & Pierre Commenge présenté lors du 10ème Apéro Codelab le 18 février 2011 au Jardin Moderne.
Échelle culturelle a été créée en 1998 à Rouen et mène des expériences centrées sur la ville, l'espace et les territoire, réalise des créations intégrant la population.Le projet présenté, intitulé « Écouter chuchoter les murs », consiste en une tentative d'utiliser du son dans la ville pour faire résonner les paroles des habitants afin qu'ils puissent exprimer leur propre vision de leur quartier. L'objectif est de se focaliser sur la création de cartes manquantes, c'est-à-dire travailler sur des représentations de la ville qui n'existent pas.
On peut donc se balader avec en ville pour écouter des montages sonores et récolter de l'information sonore en faisant résonner les matériaux urbains (métal, bois, carton, plastique...). Le son qui sort dépend des vibrations émises par l'appareil.
La forme du travail se définit au fur et à mesure des rencontres. En fonction du déplacement des personnes, les témoignages écoutés vont changer. La géolocalisation se situe donc au cœur de l'expérience. Par ce biais, la manière classique de concevoir la ville est bouleversée : par exemple, sur une carte banale, ne seront pas représentées les mosquées, mais dans l'optique du projet, une vision différente de la religion musulmane peut être mise en avant.