« Moulins Saint Martin » : différence entre les versions
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[[Fichier:Moulin saint martin.JPG|300px|right|thumb|Illustration publiée dans [[L'Ouest- | [[Fichier:Moulin saint martin.JPG|300px|right|thumb|Illustration publiée dans [[L'Ouest-Éclair]] en août 1932<ref>L'Ouest-Eclair du 26 août 1932, page 5</ref>]] | ||
Les deux moulins dépendirent du domaine ducal, puis du domaine royal qui les donnait en location, en 1683, pour 750 livres. Ils étaient d'ailleurs appelé ''moulins du Roy'' au 17{{e}} siècle.<ref> ''Le Vieux Rennes'', par P. Banéat</ref> puis ils appartinrent au patrimoine foncier des robins et des titulaires d'office jusqu'au début du 19{{e}} siècle. | Les deux moulins dépendirent du domaine ducal, puis du domaine royal qui les donnait en location, en 1683, pour 750 livres. Ils étaient d'ailleurs appelé ''moulins du Roy'' au 17{{e}} siècle.<ref> ''Le Vieux Rennes'', par P. Banéat</ref> puis ils appartinrent au patrimoine foncier des robins et des titulaires d'office jusqu'au début du 19{{e}} siècle. |
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Les deux moulins dépendirent du domaine ducal, puis du domaine royal qui les donnait en location, en 1683, pour 750 livres. Ils étaient d'ailleurs appelé moulins du Roy au 17e siècle.[2] puis ils appartinrent au patrimoine foncier des robins et des titulaires d'office jusqu'au début du 19e siècle.
En 1766 le premier moulin, vers le sud, est à froment et en mauvais état mais "allait et tournait", au contraire du second, ancien moulin à seigle tombé en ruine. En 1812, une pénurie d'eau résulte de la sécheresse, dont il découle un litige entre le meunier du moulin à blé et celui du moulin à tan et des achats d'eau de l'étang d'Ouée auront lieu. En 1867 seul subsiste le moulin à tan, propriété d'une dame veuve Edouard Leroux qui était devenu aussi propriétaire du Moulin de Trublet et de MM. Alfred et Edgar Le Bastard et un réglement d'eau obligeant à un déversoir en rapport avec le bief et donc d'une longueur d'environ 13,50 m leur est notifié par arrêté préfectoral en mars 1870. Ceux-ci partent en procès jusque devant le Conseil d'Etat qui leur donnera tort.[3]