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Juriste et professeur à la faculté de droit de Rennes puis doyen honoraire de cette faculté. | Juriste et professeur à la faculté de droit de Rennes à partir de décembre 1925<ref>L'Ouest-Eclair du 12 décembre 1925, page 3</ref>, puis doyen honoraire de cette faculté, André Trasbot vit au 17 [[rue Alexandre Duval]] à Rennes<ref>L'Ouest-Eclair du 9 avril 1929, page 6</ref>. | ||
Pendant la guerre | Pendant la première guerre mondiale, il est combattant du 17 août [[1914]] au 24 août [[1919]] au sein du 138ème RI. Il reçoit la croix de guerre. Il se marie peu après, le 10 septembre 1919 à Orléans, avec Jeanne Freslon avec qui il a cinq filles. Redevenu civil il soutient sa thèse : ''L'acte d'administration en droit privé français''. | ||
Il fait paraître de nombreux articles de droit commercial. Il fait de nombreux commentaires de lois. D'où son | Il fait paraître de nombreux articles de droit commercial. Il fait de nombreux commentaires de lois. D'où son appellation de juriste. | ||
Membre du mouvement républicain populaire (parti politique fondé en [[1945]] par des chrétiens résistants à l'occupant nazi). | Membre du mouvement républicain populaire (parti politique fondé en [[1945]] par des chrétiens résistants à l'occupant nazi). | ||
Il est élu conseiller municipal de Rennes en 1947 et en 1953, puis devient président de la commission du contentieux, membre de la commission des finances, et de celle de l'éducation | Il est élu conseiller municipal de Rennes en 1947 et en 1953, puis devient président de la commission du contentieux, membre de la commission des finances, et de celle de l'éducation nationale. Il a en outre participé au mouvement mutualiste, ainsi qu'à diverses commissions : conseil de famille de l'assistance à l'enfance, président de la commission de surveillance de l'hôpital psychiatrique, administrateur des biens des aliénés<ref>Sources : ''[[Les gens de chez nous]] : notice biographique des personnages qui ont donné leur nom aux rues de Cleunay'', [[Bernard Fournier]],[http://sbib.si.leschampslibres.fr/search~S1*frf/?searchtype=t&searcharg=les+gens+de+chez+nous&searchscope=1&SORT=D&extended=0&SUBMIT=Chercher&searchlimits=&searchorigarg=aBernard+Fournier]</ref>. | ||
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La rue André Trasbot se situe entre la rue Champion de Cicé et la rue Jules Lallemand. Dans cette rue se situe l'Antipode MJC Rennes. Cette voie fut dénommée par délibération du conseil municipal de la Ville de Rennes le 16 octobre 1957.
André Trasbot
André Trasbot, juriste, est né le 20 décembre 1892 à Toury (Eure et Loire) et décédé le 21 juillet 1957 à Evian-les-Bains (Haute-Savoie). Juriste et professeur à la faculté de droit de Rennes à partir de décembre 1925[1], puis doyen honoraire de cette faculté, André Trasbot vit au 17 rue Alexandre Duval à Rennes[2].
Pendant la première guerre mondiale, il est combattant du 17 août 1914 au 24 août 1919 au sein du 138ème RI. Il reçoit la croix de guerre. Il se marie peu après, le 10 septembre 1919 à Orléans, avec Jeanne Freslon avec qui il a cinq filles. Redevenu civil il soutient sa thèse : L'acte d'administration en droit privé français.
Il fait paraître de nombreux articles de droit commercial. Il fait de nombreux commentaires de lois. D'où son appellation de juriste.
Membre du mouvement républicain populaire (parti politique fondé en 1945 par des chrétiens résistants à l'occupant nazi).
Il est élu conseiller municipal de Rennes en 1947 et en 1953, puis devient président de la commission du contentieux, membre de la commission des finances, et de celle de l'éducation nationale. Il a en outre participé au mouvement mutualiste, ainsi qu'à diverses commissions : conseil de famille de l'assistance à l'enfance, président de la commission de surveillance de l'hôpital psychiatrique, administrateur des biens des aliénés[3].
André Trasbot est décoré de l'ordre national de la Légion d'Honneur par décret du 20 mars 1948.
Sur la carte
Notes et références
- ↑ L'Ouest-Eclair du 12 décembre 1925, page 3
- ↑ L'Ouest-Eclair du 9 avril 1929, page 6
- ↑ Sources : Les gens de chez nous : notice biographique des personnages qui ont donné leur nom aux rues de Cleunay, Bernard Fournier,[1]