« Emigration rennaise » : différence entre les versions
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Canada, États-Unis, Royaume-Uni, îles Anglo-Normandes constituent des foyers d'émigration où il existe de nombreuses sources de documentation. | |||
Parmi ces documents, il y a notamment des grands livres, des lettres, des journaux de postes de traite, des journaux de bord de navires, des cartes, des peintures, des photographies, des enregistrements sonores et des images en mouvement. | |||
=== L'exemple des archives de la Compagnie de la Baie d’Hudson – désignation par l’UNESCO === | |||
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Ces archives documentent les opérations de la Compagnie de la Baie d’Hudson à Londres, dans l’ensemble de l’Amérique du Nord, et même à l’extrémité orientale de la Russie. | |||
Après 1870, des documents capturent comment la Compagnie de la Baie d’Hudson abandonne son rôle de gouvernement européen de facto administrant la zone d’Amérique du Nord connue sous le nom de Terre de Rupert. | |||
Le 21 juin 2007, le Manitoba a annoncé que les documents des Archives de la Compagnie de la Baie d’Hudson qui couvrent les 250 premières années de l’histoire de HBC, soit de 1670 à 1920, ont été inscrits au Registre de la Mémoire du monde de l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO). L’UNESCO a créé le programme Mémoire du monde afin de protéger et de mettre en valeur le patrimoine documentaire du monde. | |||
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Version actuelle datée du 20 janvier 2024 à 15:00
L'émigration rennaise désigne le mouvement nomade d'émigration du pays de Rennes, similaire au processus historique bien connu des "diasporas bretonnes" célèbres à travers le monde.
« diaspora » vient du grec « dispersion », ce qui implique éparpillement, délitement, épuisement...
A l'instar de l'encyclopédie des migrants, des énergies associatives et citoyennes renouvèlent la démarche de frontière intelligente, ou "Borders studies" pour mieux connaître les parcours de vie associés à cette émigration rennaise, en lien avec les ressources de réseaux internationaux et institutions culturelles[1].
Mémoire du monde
Le programme "Mémoire du monde", créé par l'UNESCO en 1992, vise à prévenir la perte irrévocable du patrimoine documentaire – des documents ou des collections de documents d'une valeur significative et durable, sur papier, audiovisuel, numérique ou tout autre format[2].
A l'avant-garde du patrimoine documentaire mondial
Les institutions de mémoire rennaises, notamment les archives, les bibliothèques, les musées et les centres de recherche, sont invitées à renforcer la protection des fonds du patrimoine documentaire (livres anciens et manuscrits, archives gouvernementales, matériel audiovisuel et documents numériques) risquant d’être détériorés ou perdus.
L’initiative « Mémoire du monde de l’UNESCO pour la sauvegarde du patrimoine documentaire en péril » soutient non seulement les institutions publiques ou privées détentrices, mais aussi les associations professionnelles, les ONG et d’autres entités établies.
Le patrimoine documentaire est un héritage de l'humanité, grâce auquel nous pouvons nous tourner vers le passé, enrichir nos vies présentes et envisager l'avenir avec l'audace forgée par des souvenirs durables.
C'est pourquoi nous devons tous être vigilants pour sauvegarder notre patrimoine commun, le célébrer comme un marqueur de la civilisation humaine, et le transmettre à la génération suivante. Le patrimoine documentaire est donc un ingrédient important du développement durable, reliant les dix-sept objectifs de développement durable (ODD) aux tissus culturels qui maintiennent la cohésion des sociétés.
La structure du Programme MoW
Le programme Mémoire du monde (MoW) est mis en œuvre par l'UNESCO par le biais d'un système de comités et de mécanismes de soutien opérant aux niveaux international, régional et national, conformément aux Principes directeurs généraux pour la sauvegarde du patrimoine documentaire[3].
A la recherche des foyers d'émigration rennaise
Canada, États-Unis, Royaume-Uni, îles Anglo-Normandes constituent des foyers d'émigration où il existe de nombreuses sources de documentation.
Parmi ces documents, il y a notamment des grands livres, des lettres, des journaux de postes de traite, des journaux de bord de navires, des cartes, des peintures, des photographies, des enregistrements sonores et des images en mouvement.
L'exemple des archives de la Compagnie de la Baie d’Hudson – désignation par l’UNESCO
Ces archives documentent les opérations de la Compagnie de la Baie d’Hudson à Londres, dans l’ensemble de l’Amérique du Nord, et même à l’extrémité orientale de la Russie.
Après 1870, des documents capturent comment la Compagnie de la Baie d’Hudson abandonne son rôle de gouvernement européen de facto administrant la zone d’Amérique du Nord connue sous le nom de Terre de Rupert.
Le 21 juin 2007, le Manitoba a annoncé que les documents des Archives de la Compagnie de la Baie d’Hudson qui couvrent les 250 premières années de l’histoire de HBC, soit de 1670 à 1920, ont été inscrits au Registre de la Mémoire du monde de l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO). L’UNESCO a créé le programme Mémoire du monde afin de protéger et de mettre en valeur le patrimoine documentaire du monde.