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Résistant fusillé  
Résistant fusillé  


(30 juillet 1920, Cesson - 30 décembre 1942, Saint-Jacques-de-la-Lande)  
(30 juillet 1920, [[Cesson-Sévigné]] - 30 décembre 1942, Saint-Jacques-de-la-Lande)  


Dès 1940, il adhère aux Jeunesses Communistes dont il devient responsable pour la région malouine. Membre de l'Organisation Spéciale, puis du Front national (en 1941) et F.T.P., il participe à des sabotages contre l’occupant et les immeubles qu’il occupe en 1941 et 1942.
Dès 1940, il adhère aux Jeunesses Communistes dont il devient responsable pour la région malouine. Membre de l'Organisation Spéciale, puis du Front national (en 1941) et F.T.P., il participe à des sabotages contre l’occupant et les immeubles qu’il occupe en 1941 et 1942.

Version du 14 octobre 2022 à 15:27

La rue Albert Gérard se situe dans le quartier 8 : Sud-Gare entre le boulevard Gaëtan Hervé et le boulevard Louis Volclair. Cette voie fut dénommée par délibération du conseil municipal de la Ville de Rennes le 16 octobre 1957[1].

Cette voie rend hommage à :

Albert Gérard

Albert Gérard, un des résistants fusillés à la Maltière

Résistant fusillé

(30 juillet 1920, Cesson-Sévigné - 30 décembre 1942, Saint-Jacques-de-la-Lande)

Dès 1940, il adhère aux Jeunesses Communistes dont il devient responsable pour la région malouine. Membre de l'Organisation Spéciale, puis du Front national (en 1941) et F.T.P., il participe à des sabotages contre l’occupant et les immeubles qu’il occupe en 1941 et 1942.

Il assure les liaisons entre les groupes F.T.P. de Paramé, Rennes et Nantes, transporte du matériel de propagande et des explosifs destinés à la confection de bombes.

Arrêté le 22 septembre 1942 à Paramé, en même temps que René Hirel qui était caché sous son lit, il est condamné à mort par le tribunal militaire allemand de Rennes, début décembre. Il est fusillé le 30 décembre 1942 à la Butte des Fusillés de la Maltière.

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Note et références

  1. Délibérations municipales, Archives de Rennes