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(détenue par des commerçants et pharmaciens rennais) et d’une seconde composante d’un hectare qui fut
(détenue par des commerçants et pharmaciens rennais) et d’une seconde composante d’un hectare qui fut
exploitée par les Primault de 1945 à 1967. On accédait au village des Basses Ourmes depuis le [[Chemin de Ronde]],
exploitée par les Primault de 1945 à 1967. On accédait au village des Basses Ourmes depuis le [[Chemin de Ronde]],
par une voie sur 300 mètres. ^L'emplacement correspond maintenant à l'extrémité est de l'[[allée de Varsovie]]. En 1851 le hameau comportait 4 foyers abritant 21 habitants dont 4 laboureurs et 10 domestiques.
par une voie sur 300 mètres. L'emplacement correspond maintenant à l'extrémité est de l'[[allée de Varsovie]]. En 1851 le hameau comportait 4 foyers abritant 21 habitants dont 4 laboureurs et 10 domestiques.


Chez les Primault,
Chez les Primault,

Version du 27 mars 2021 à 12:12

Site Basses Ourmes.png

Les Basses Ourmes, riveraines de la route de Vern, étaient constituées d’une première propriété de 17 ha et demi (détenue par des commerçants et pharmaciens rennais) et d’une seconde composante d’un hectare qui fut exploitée par les Primault de 1945 à 1967. On accédait au village des Basses Ourmes depuis le Chemin de Ronde, par une voie sur 300 mètres. L'emplacement correspond maintenant à l'extrémité est de l'allée de Varsovie. En 1851 le hameau comportait 4 foyers abritant 21 habitants dont 4 laboureurs et 10 domestiques.

Chez les Primault, un membre de la famille portait le lait tous les jours en ville; une employée fut chargée de transporter les bidons de lait dans une remorque attachée à un vélo, desservant trois dépôts : Rue Albert Thomas, rue de Vern près de l’école Carle Bahon et rue des Ateliers, disparue avec la construction du pont Saint Hélier. En 1951, le portage du lait s’arrêta ; s’y substitua la livraison du beurre assurée par le père qui attelait son cheval pour la tournée, une fois par semaine. L’exploitation fournissait aussi du cidre, non pas dans les cafés comme la plupart des fermes sur Rennes, mais en barriques de 100 litres dans la cité SNCF. D’autres venaient s’approvisionner directement aux Basses Ourmes. Un peu plus près de la rue de Vern, se tenait une seconde ferme, à peu près de même grandeur. Elle se situait à la fin du chemin.