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*2 janvier : deux élus socialistes refusent de serrer la main du maire [[Jean Janvier]] au motif qu'il ne s'est pas suffisamment opposé à la répression contre les meneurs de la grève des cheminots, licenciés après les mouvements de fin [[1910]].<ref>Source : [[L'Ouest-Éclair]], cité par [[Jean Quéniart]], professeur émérite d'Histoire à l'[[université Rennes 2]] lors d'une conférence organisée le 30 novembre 2010 par l'[[Association Les Trois Maisons]]</ref>
*2 janvier : deux élus socialistes refusent de serrer la main du maire [[Jean Janvier]] au motif qu'il ne s'est pas suffisamment opposé à la répression contre les meneurs de la grève des cheminots, licenciés après les mouvements de fin [[1910]].<ref>Source : [[L'Ouest-Éclair]]</ref>


*11 janvier : 200 terrassiers se mettent en grève pour réclamer une augmentation de leurs salaires, qui oscillent entre 20 et 40 centimes de l'heure.<ref>Source : [[L'Ouest-Éclair]], cité par [[Jean Quéniart]], professeur émérite d'Histoire à l'[[université Rennes 2]] lors d'une conférence organisée le 30 novembre 2010 par l'[[Association Les Trois Maisons]]</ref>
*11 janvier : 200 terrassiers se mettent en grève pour réclamer une augmentation de leurs salaires, qui oscillent entre 20 et 40 centimes de l'heure.<ref>Source : [[L'Ouest-Éclair]], cité par [[Jean Quéniart]], professeur émérite d'Histoire à l'[[université Rennes 2]] lors d'une conférence organisée le 30 novembre 2010 par l'[[Association Les Trois Maisons]]</ref>

Version du 2 décembre 2010 à 08:43

  • 2 janvier : deux élus socialistes refusent de serrer la main du maire Jean Janvier au motif qu'il ne s'est pas suffisamment opposé à la répression contre les meneurs de la grève des cheminots, licenciés après les mouvements de fin 1910.[1]
  • 11 janvier : 200 terrassiers se mettent en grève pour réclamer une augmentation de leurs salaires, qui oscillent entre 20 et 40 centimes de l'heure.[2]
  • Mars : six étudiants écopent d'une contravention pour tapage nocturne sur la place Saint-Anne[3].
  • Mars : un conseiller municipal socialiste demande la création d'un asile de nuit pour héberger les sans-abris (aucun équipement de ce type n'existait auparavant).[4]
  • 29 octobre : inauguration de la sculpture située sur l'Hôtel de ville, réalisée par Jean Boucher, représentant l'union de la Bretagne à la France.

Notes et références

  1. Source : L'Ouest-Éclair
  2. Source : L'Ouest-Éclair, cité par Jean Quéniart, professeur émérite d'Histoire à l'université Rennes 2 lors d'une conférence organisée le 30 novembre 2010 par l'Association Les Trois Maisons
  3. Source : L'Ouest-Éclair
  4. Source : L'Ouest-Éclair, cité par Jean Quéniart, professeur émérite d'Histoire à l'université Rennes 2 lors d'une conférence organisée le 30 novembre 2010 par l'Association Les Trois Maisons