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Il va laisser alors les assurances et se consacrer rapidement à sa carrière d'écrivain, considéré comme anticonformiste et va écrire "le Journal d'un Curé de campagne". | Il va laisser alors les assurances et se consacrer rapidement à sa carrière d'écrivain, considéré comme anticonformiste et va écrire "le Journal d'un Curé de campagne". | ||
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Malade, Georges Bernanos | Malade, Georges Bernanos décéda en 1948, à l'âge de 60 ans. | ||
Albert Camus à son décès va saluer un "écrivain de la race qui mérite le respect et la gratitude de tous les hommes libres". | Albert Camus à son décès va saluer un "écrivain de la race qui mérite le respect et la gratitude de tous les hommes libres". | ||
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Version actuelle datée du 11 juillet 2017 à 14:26
La place Georges Bernanos est située dans le quartier de Maurepas et prend son origine sur la rue de Fougères. Elle fut dénommée par délibération du conseil municipal de la Ville de Rennes le 22 juillet 1960.
Elle rappelle :
Georges Bernanos
Romancier[1]
Georges Bernanos est un personnage qui, tout comme Albert Camus[2], n'a rien à voir avec le quartier de Maurepas, mais lors de la construction du quartier furent donnés à certaines voies des noms de personnages décédés depuis la seconde guerre mondiale mais ayant eu un bon comportement durant cette période.
Georges Bernanos 
est le nom donné à la place qui devait ouvrir entre les 201 et 205 de la rue de Fougères. Cet écrivain catholique né à Paris en 1888, après avoir été combattant durant la guerre 14-18, devint inspecteur d'assurance. Dès son premier roman, "Sous le Soleil de Satan" pour lequel il reçut le Prix du roman de l'Académie française, il va se faire connaître du public.
Il va laisser alors les assurances et se consacrer rapidement à sa carrière d'écrivain, considéré comme anticonformiste et va écrire "le Journal d'un Curé de campagne".
Tout comme Emmanuel Mounier dont le nom est alors donné au boulevard dans le prolongement de la place, Georges Bernanos prend position contre Franco lors de la guerre civile espagnole.
À la veille de la seconde guerre mondiale, il part se réfugier, avec sa nombreuse famille, au Brésil. Il va rédiger de nombreux articles dans Combat en faveur de la France libre et se rallie au Général de Gaulle.
Malade, Georges Bernanos décéda en 1948, à l'âge de 60 ans.
Albert Camus à son décès va saluer un "écrivain de la race qui mérite le respect et la gratitude de tous les hommes libres".
Sur la carte
Note et références
- ↑ à partir de la notice rédigée par Joël DAVID, chargé d'odonymie à la Ville de Rennes, Rennes Métropole
- ↑ rue Albert Camus
