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Le nom de la Motte-Baril rappelle la présence d’un manoir du même nom, aujourd’hui détruit, et attesté au XVIe siècle à proximité du lit de la Vilaine. Comblé après 1958, c’est aujourd’hui la [[promenade Georges Brassens]]. Tous les deux ans une fête dénommée « [[Ballade avec Brassens]] » réunit les amateurs de l’ami Georges qui s’y retrouvent pour une journée de concerts. | Le nom de la Motte-Baril rappelle la présence d’un manoir du même nom, aujourd’hui détruit, et attesté au XVIe siècle à proximité du lit de la [[Vilaine]]. Comblé après 1958, c’est aujourd’hui la [[promenade Georges Brassens]]. Tous les deux ans une fête dénommée « [[Ballade avec Brassens]] » réunit les amateurs de l’ami Georges qui s’y retrouvent pour une journée de concerts. | ||
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La création du cimetière de l'Est, à la fin du XIXe siècle, entraîne l’aménagement d’une avenue y conduisant, nommée maintenant Avenue Monseigneur Mouézy y conduisant, du nom d’un évêque de Rennes, Monseigneur Mouëzy.
A l’emplacement de l’actuel Foyer des Jeunes Travailleurs, s’établit en 1898 la brosserie Saint-Hélier, propriété de Charles Oberthür. Ce dernier commandera la construction d’un lotissement de 2611m² divisé en 6 lots, de l’autre côté de l’avenue (du n° 12 au n°20). La présence de l’eau n’est pas étrangère à cette implantation industrielle qui s'enrichit d’une blanchisserie dessinée par l’entrepreneur Poirier et construite en 1933 rue de l'Abreuvoir.
Le nom de la Motte-Baril rappelle la présence d’un manoir du même nom, aujourd’hui détruit, et attesté au XVIe siècle à proximité du lit de la Vilaine. Comblé après 1958, c’est aujourd’hui la promenade Georges Brassens. Tous les deux ans une fête dénommée « Ballade avec Brassens » réunit les amateurs de l’ami Georges qui s’y retrouvent pour une journée de concerts.
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Sur la carte
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