A l'occasion des 80 ans de la libération de Rennes, (re)découvrez l'ensemble des
contributions autour de la Seconde Guerre mondiale et de la libération sur Wiki-Rennes.
« Rue du Griffon » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
mAucun résumé des modifications |
||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
[[Catégorie:Voie de Rennes|Griffon]] | [[Catégorie:Voie de Rennes|Griffon]] | ||
La petite et étroite rue du Griffon, axée est-ouest, est en prolongement de la [[rue du Chapitre]] aboutit en partie nord de la [[rue des Dames]]. | La petite et étroite rue du Griffon, axée est-ouest, est en prolongement de la [[rue du Chapitre]] et aboutit en partie nord de la [[rue des Dames]]. | ||
Pas de référence à quelque personnage rennais pour cette rue, citée dès 1357, mais peut-être à une hôtellerie éponyme au 15e siècle. Au n° 5 existait depuis 1683 l'établissement des religieuses de Saint-Vincent de Paul, qui géraient un orphelinat, précédées jusqu'à la Révolution par les soeurs de Charité de la marmite des pauvres. <ref> ''Le vieux Rennes'', par Paul Banéat. J. Larcher, éditeur - 1911</ref> | Pas de référence à quelque personnage rennais pour cette rue, citée dès 1357, mais peut-être à une hôtellerie éponyme au 15e siècle. Au n° 5 existait depuis 1683 l'établissement des religieuses de Saint-Vincent de Paul, qui géraient un orphelinat, précédées jusqu'à la Révolution par les soeurs de Charité de la marmite des pauvres. <ref> ''Le vieux Rennes'', par Paul Banéat. J. Larcher, éditeur - 1911</ref> |
Version du 3 décembre 2011 à 11:09
La petite et étroite rue du Griffon, axée est-ouest, est en prolongement de la rue du Chapitre et aboutit en partie nord de la rue des Dames.
Pas de référence à quelque personnage rennais pour cette rue, citée dès 1357, mais peut-être à une hôtellerie éponyme au 15e siècle. Au n° 5 existait depuis 1683 l'établissement des religieuses de Saint-Vincent de Paul, qui géraient un orphelinat, précédées jusqu'à la Révolution par les soeurs de Charité de la marmite des pauvres. [1]
Au coin de la rue avec la rue des Dames se trouvait la "maison de l'Oratoire", surélevée de deux étages au début du 20e siècle. Cette maison était nommée du nom d'une congrégation sacerdotale réactivée en 1865 à Rennes par Godefroy Brossays-Saint-Marc, archevêque de Rennes, et fut l'objet de procès retentissants de 1885 à 1891 entre l'évêque et la congrégation ![2]
Au n°5 cantonna en juin 1944 une partie d'une centaine de la Milice qui y tortura des résistants. On trouve maintenant du n°1 au n°5 le centre communal d'action sociale (CCAC).