« Rue Fréron » : différence entre les versions

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Voltaire lui dédia cet épîgramme :
Voltaire lui dédia cet épîgramme :


L’autre jour au fond d’un vallon,
          ''L’autre jour au fond d’un vallon,
Un serpent piqua Jean Fréron ;
          ''Un serpent piqua Jean Fréron ;''
Que croyez-vous qu’il arriva ?
          ''Que croyez-vous qu’il arriva ?''
Ce fut le serpent qui creva.
          ''Ce fut le serpent qui creva.''''


Fréron fonde "''L'Année littéraire''" qui fut le plus important magazine du XVIIIe siècle et qui lui apporta la notoriété ainsi que l'aisance financière... en même temps que de nombreux ennuis. A l'instar de la plupart des auteurs de cette époque (Voltaire, Diderot...), ses écrits lui valurent plusieurs séjours en prison (Vincennes, la Bastille). "''L'Année littéraire''" fut l'arme et le gagne-pain de Fréron pendant plus de vingt ans<ref>https://www.sudouest.fr/lot-et-garonne/clairac/qui-etait-elie-freron-le-zemmour-des-lumieres-2890759.php?csnt=1904e53f07a</ref>.
Fréron fonde "''L'Année littéraire''" qui fut le plus important magazine du XVIIIe siècle et qui lui apporta la notoriété ainsi que l'aisance financière... en même temps que de nombreux ennuis. A l'instar de la plupart des auteurs de cette époque (Voltaire, Diderot...), ses écrits lui valurent plusieurs séjours en prison (Vincennes, la Bastille). "''L'Année littéraire''" fut l'arme et le gagne-pain de Fréron pendant plus de vingt ans<ref>https://www.sudouest.fr/lot-et-garonne/clairac/qui-etait-elie-freron-le-zemmour-des-lumieres-2890759.php?csnt=1904e53f07a</ref>.
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