Bannière liberation Rennes 2.jpg

A l'occasion des 80 ans de la libération de Rennes, (re)découvrez l'ensemble des
contributions autour de la Seconde Guerre mondiale et de la libération sur Wiki-Rennes.

« " À Rennes, rien ne prend, sauf le feu " » : différence entre les versions

De WikiRennes
Aller à la navigationAller à la recherche
Ajout précision
m (ajout citation et précisions)
(Ajout précision)
Balises : Modification par mobile Modification par le web mobile
Ligne 24 : Ligne 24 :
* l'[[ancienne église Toussaints]] (11 frimaire an II : 1er décembre [[1793]])
* l'[[ancienne église Toussaints]] (11 frimaire an II : 1er décembre [[1793]])
* l'église de Bonne-Nouvelle (21 mars [[1821]])
* l'église de Bonne-Nouvelle (21 mars [[1821]])
* la salle d'artifice située sur les murs de Champ-Dolent<ref>''Histoire de Rennes'', par Émile Ducrest de Villeneuve, 1845, pages 526-527, [https://archive.org/details/histoirederenne00mailgoog/page/526/mode/2up lire en ligne]</ref>
* la salle d'artifice située sur les murs de Champ-Dolent (1825)<ref>''Histoire de Rennes'', par Émile Ducrest de Villeneuve, 1845, pages 526-527, [https://archive.org/details/histoirederenne00mailgoog/page/526/mode/2up lire en ligne]</ref>
* la [[rue Saint-Melaine]], les immeubles des numéros 2 à 10 (27 septembre [[1851]])
* la [[rue Saint-Melaine]], les immeubles des numéros 2 à 10 (27 septembre [[1851]])
* le théâtre, maintenant [[Opéra]] (20 février [[1856]])
* le théâtre, maintenant [[Opéra]] (20 février [[1856]])
Ligne 64 : Ligne 64 :


{{Citation|texte=''Il ''(M. Limeul, capitaine des pompiers, ndlr)'' nous rappelle quels furent durant ces dernières années les plus importants sinistres auxquels il participa. Ecoutons-le : en 1893, les magasins du « Vieux Chêne », [[rue Le Bastard|rue Lebastard]], sont détruits par un formidable incendie ; en 1900, c'est la chapelle de la [[rue de la Visitation]] ; et, [[rue de Redon]], un pâté de maisons ; en 1902, c'est un bâtiment de la [[caserne de Guines]] ; en 1903, une partie de l'[[asile de Saint-Méen|asile Saint-Méen]] ; en 1906, c'est l'effroyable sinistre de [[la Piletière]] - sept personnes y périrent dans les flammes ; - en 1911, c'est le tour du [[Palais du Commerce]] ; puis, en 1917, celui du vieux Saint-Vincent où était installé un hôpital militaire et où sont logés les élèves de l'Ecole primaire supérieure ; en 1920, c'est l'incendie de l'[[Hôtel de Ville]] ; l'année suivante, le sinistre de la [[palais Saint-Georges|caserne Saint-Georges]] puis l'incendie de la [[cartoucherie de la Courrouze]]. Évidemment, nous ne citons ici que les plus importants sinistres.''|auteur=L'Ouest-Eclair|origine=Numéro du 20 mars 1932|collecteur=Manu35|date=2018}}
{{Citation|texte=''Il ''(M. Limeul, capitaine des pompiers, ndlr)'' nous rappelle quels furent durant ces dernières années les plus importants sinistres auxquels il participa. Ecoutons-le : en 1893, les magasins du « Vieux Chêne », [[rue Le Bastard|rue Lebastard]], sont détruits par un formidable incendie ; en 1900, c'est la chapelle de la [[rue de la Visitation]] ; et, [[rue de Redon]], un pâté de maisons ; en 1902, c'est un bâtiment de la [[caserne de Guines]] ; en 1903, une partie de l'[[asile de Saint-Méen|asile Saint-Méen]] ; en 1906, c'est l'effroyable sinistre de [[la Piletière]] - sept personnes y périrent dans les flammes ; - en 1911, c'est le tour du [[Palais du Commerce]] ; puis, en 1917, celui du vieux Saint-Vincent où était installé un hôpital militaire et où sont logés les élèves de l'Ecole primaire supérieure ; en 1920, c'est l'incendie de l'[[Hôtel de Ville]] ; l'année suivante, le sinistre de la [[palais Saint-Georges|caserne Saint-Georges]] puis l'incendie de la [[cartoucherie de la Courrouze]]. Évidemment, nous ne citons ici que les plus importants sinistres.''|auteur=L'Ouest-Eclair|origine=Numéro du 20 mars 1932|collecteur=Manu35|date=2018}}


==Références==
==Références==
9 030

modifications

Menu de navigation