« L'aviatrice Claire Roman s'évade » : différence entre les versions

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et se dirige vers les hangars mais une troupe de reconnaissance allemande en surgit et la capture ainsi que ses deux pilotes passagers ! Ils sont embarqués dans des automitrailleuses qui circulent longtemps dans la région. À 1 heure du matin les passagers sont de retour à Rennes et gardés sur les marches d'un monument (''le théâtre, le palais du Parlement ?'').
et se dirige vers les hangars mais une troupe de reconnaissance allemande en surgit et la capture ainsi que ses deux pilotes passagers ! Ils sont embarqués dans des automitrailleuses qui circulent longtemps dans la région. À 1 heure du matin les passagers sont de retour à Rennes et gardés sur les marches d'un monument (''le théâtre, le palais du Parlement ?'').


Claire subtilise alors à un soldat les cartes qui lui avaient été confisquées. Après une nuit difficile on les transfère dans une caserne bondée d'officiers et de soldats prisonniers. Vers 14 heures, ayant donné à sa tenue personnelle mi-militaire mi-civile une allure bien civile, y ayant ajouté un tablier de cuisine et tenant à la main un panier de provisions, elle fausse compagnie.  Elle achète une bicyclette et pédale vers Saint-Nazaire sur 80 kilomètres; épuisée et n'ayant pas dormi depuis 40 heures elle s'accorde un court sommeil chez un habitant et repart à l'aube jusqu’à l’aérodrome de La Baule-Escoublac. Là, des mécanos, inconscients du danger, s‘affairaient sur des appareils américains N.A. 57. Le sous-lieutenant Roman parvient à les convaincre de détruire les  appareils pour qu'ils ne restent pas aux mains des Allemands et choisit un de ces N.A. 57,  appareil qu’elle n’a jamais piloté. Un bref « amphi cabine » et elle décolle pour  Bussac qu'elle atteint après un vol de 1h35.<ref>   
Claire subtilise alors à un soldat les cartes qui lui avaient été confisquées. Après une nuit difficile on les transfère dans une caserne bondée d'officiers et de soldats prisonniers. Vers 14 heures, ayant donné à sa tenue personnelle mi-militaire mi-civile une allure bien civile, y ayant ajouté un tablier de cuisine et tenant à la main un panier de provisions, elle fausse compagnie.  Elle achète une bicyclette et pédale vers Saint-Nazaire sur 80 kilomètres; épuisée et n'ayant pas dormi depuis 40 heures elle s'accorde un court sommeil chez un habitant et repart à l'aube jusqu’à l’aérodrome de La Baule-Escoublac. Là, des mécanos, inconscients du danger, s‘affairaient sur des appareils américains N.A. 57. La sous-lieutenant Roman parvient à les convaincre de détruire les  appareils pour qu'ils ne restent pas aux mains des Allemands et choisit un de ces N.A. 57,  appareil qu’elle n’a jamais piloté. Un bref « amphi cabine » et elle décolle pour  Bussac qu'elle atteint après un vol de 1h35.<ref>   
+ Claire Roman - Stéphane Nicolaou - 2004. Association des Amis du Musée de l'Air https://aamalebourget.fr/wp-content/uploads/2021/03/PEGASE-113-AAMA-Claire-Romand-3.pdf</ref>
+ Claire Roman - Stéphane Nicolaou - 2004. Association des Amis du Musée de l'Air https://aamalebourget.fr/wp-content/uploads/2021/03/PEGASE-113-AAMA-Claire-Romand-3.pdf</ref>


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