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Le 2 décembre 1885, Séverine épouse Adrien Guebhardt, mais va vivre avec Georges de Labruyère jusqu'à sa mort en 1920, avant de revenir vivre avec son mari jusqu'à la fin des ses jours. Situation qui choque les rédacteurs du "Cri du peuple", qui se désolidarisent de leur direction. En [[1887]], crise politique au journal du Cri, Séverine est accusée de soutenir les anarchistes et un an plus tard elle démissionne.
Le 2 décembre 1885, Séverine épouse Adrien Guebhardt, mais va vivre avec Georges de Labruyère jusqu'à sa mort en 1920, avant de revenir vivre avec son mari jusqu'à la fin des ses jours. Situation qui choque les rédacteurs du "Cri du peuple", qui se désolidarisent de leur direction. En [[1887]], crise politique au journal du Cri, Séverine est accusée de soutenir les anarchistes et un an plus tard elle démissionne.


Séverine fait la connaissance de Marguerite Durant, l'épouse d'un député boulangiste. Une femme qui va permettre au féminisme de faire une formidable avancée avec la création du quotidien ''La Fronde'', dans lequel Séverine va écrire. Le seul homme de l'établissement est le gardien de nuit. Séverine va un certain temps résister au féminisme. Comme beaucoup de femmes à cette époque, elles s'imaginent qu'en s'engageant dans le féministe, elles vont perdre leur féminité. Séverine va également collaborer à des journaux comme ''Le Gaulois'' sous le pseudonyme, Renée et à ''Gil Blas'', sous le pseudonyme de Jacqueline. Elle écrit également dans un journal antisémite mais va se rattraper dans ''La Fronde'' lors de l'affaire Dreyfus.
Séverine fait la connaissance de Marguerite Durant, l'épouse d'un député boulangiste. Une femme qui va permettre au féminisme de faire une formidable avancée avec la création du quotidien ''La Fronde'', dans lequel Séverine va écrire. Le seul homme de l'établissement est le gardien de nuit. Séverine va un certain temps résister au féminisme. Comme beaucoup de femmes à cette époque, elles s'imaginent qu'en s'engageant dans le féministe, elles vont perdre leur féminité. Séverine va également collaborer à des journaux comme ''Le Gaulois'' sous le pseudonyme "Renée" et à ''Gil Blas'', sous le pseudonyme "Jacqueline". Elle écrit également dans un journal antisémite mais va se rattraper dans ''La Fronde'' lors de l'affaire Dreyfus.


En 1898, elle contribue à la fondation de La Ligue des Droits de l'Homme. Le 5 août 1899, Séverine vient à Rennes, pour couvrir le procès d'[[Alfred Dreyfus]] pour le quotidien féministe.
En 1898, elle contribue à la fondation de La Ligue des Droits de l'Homme. Le 5 août 1899, Séverine vient à Rennes, pour couvrir le procès d'[[Alfred Dreyfus]] pour le quotidien féministe.
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