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En [[1937]], un programme de rénovation est établi, pour parer aux urgences; malheureusement la construction des cinq pavillons commencée avant le début de la guerre n'est pas achevée et ne le sera que fin [[1944]]. Entre temps des pavillons de l'Hôpital seront utilisés pour des centres de formation sportive des Allemands, des miliciens. Sans doute faut-il voir là, ainsi que la proximité de la gare de triage, les raisons qui expliquent que l'Hôpital ait été une cible des bombardements du [[Bombardement du 17 juillet 1944|17 juillet]] et du 1er août 1944... Ils occasionnent de nombreux morts parmi les malades et le personnel, et détruisent des bâtiments importants<ref>''De l'aumonerie de Saint-Méen au centre hospitalier Guillaume-Régnier, 1627-1997, Regards sur un établissement''</ref>. | En [[1937]], un programme de rénovation est établi, pour parer aux urgences; malheureusement la construction des cinq pavillons commencée avant le début de la guerre n'est pas achevée et ne le sera que fin [[1944]]. Entre temps des pavillons de l'Hôpital seront utilisés pour des centres de formation sportive des Allemands, des miliciens. Sans doute faut-il voir là, ainsi que la proximité de la gare de triage, les raisons qui expliquent que l'Hôpital ait été une cible des bombardements du [[Bombardement du 17 juillet 1944|17 juillet]] et du 1er août 1944... Ils occasionnent de nombreux morts parmi les malades et le personnel, et détruisent des bâtiments importants<ref>''De l'aumonerie de Saint-Méen au centre hospitalier Guillaume-Régnier, 1627-1997, Regards sur un établissement''</ref>. | ||
Au sortir de la guerre, une partie des bâtiments neufs construits à proximité du [[boulevard de Strasbourg]] sont réquisitionnés pour servir de relogement aux Rennais sinistrés. Cet état de fait durera 10 ans jusqu'en [[1956]]. | Le [[bombardement du 17 juillet 1944]] causa déga^ts et victimes. Au sortir de la guerre, une partie des bâtiments neufs construits à proximité du [[boulevard de Strasbourg]] sont réquisitionnés pour servir de relogement aux Rennais sinistrés. Cet état de fait durera 10 ans jusqu'en [[1956]]. | ||
Le 16 juin 1996, l'hôpital St-Méen devient l'hôpital psychiatrique Guillaume Régnier <ref>Article dans ''[[Jeanne d'Arc, mémoire d'un quartier]]'', par Claude Rouleau.</ref>. | Le 16 juin 1996, l'hôpital St-Méen devient l'hôpital psychiatrique Guillaume Régnier <ref>Article dans ''[[Jeanne d'Arc, mémoire d'un quartier]]'', par Claude Rouleau.</ref>. | ||
===Faits divers=== | ===Faits divers=== | ||
Le 14 février [[1827]], la Cour d'assises d'Ille-et-Vilaine condamne | Le 14 février [[1827]], la Cour d'assises d'Ille-et-Vilaine condamne Pierre Texier, 31 ans, natif de Cesson, infirmier de l'asile, à six années de réclusion pour le vol de divers objets dans l'établissement<ref>La peine est très lourde parce qu'en tant qu'employé son larcin est assimilé à un vol domestique, donc relevant des assises et non, comme un vol simple, du tribunal correctionnel, où sa peine aurait été de quelques mois d'emprisonnement. Source : Registre des arrêts de la Cour d'assises d'Ille-et-Vilaine, 1826-1827, cote 2U 298 des Archives départementales.</ref>. | ||
==Notes et références== | ==Notes et références== | ||
<references/> | <references/> |
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