24 761
modifications
Aucun résumé des modifications |
Aucun résumé des modifications |
||
Ligne 3 : | Ligne 3 : | ||
Cette dénomination rappelle le séjour d'[[Henri IV à Rennes]] en mai [[1598]]. A la fin de son séjour, au retour d'une chasse, il se serait reposé à l'ombre d'un chêne au lieu-dit Sainte-Foy, dans le voisinage de [[la Prévalaye]], où il était venu chasser deux fois, le 11 et le 15 mai. Il aurait, à cette occasion, assisté à des joutes et à des danses villageoises. Le chêne en question était donc, par rapport à la place ainsi nommée, plus à l'ouest, au-delà de la rocade ouest. | Cette dénomination rappelle le séjour d'[[Henri IV à Rennes]] en mai [[1598]]. A la fin de son séjour, au retour d'une chasse, il se serait reposé à l'ombre d'un chêne au lieu-dit Sainte-Foy, dans le voisinage de [[la Prévalaye]], où il était venu chasser deux fois, le 11 et le 15 mai. Il aurait, à cette occasion, assisté à des joutes et à des danses villageoises. Le chêne en question était donc, par rapport à la place ainsi nommée, plus à l'ouest, au-delà de la rocade ouest. | ||
En 1874, Un poème de cinq quatrains est écrit sur le vénérable chêne par Alphonse Leroy, éditeur renneais, commençant par ce quatrain : | |||
''Salut,chêne béni, quatre fois séculaire,'' | |||
''Où vint se reposer Henry le Béarnais,'' | |||
''L'homme à la poule au pot, le roi si populaire'', | |||
''Au coeur peint en deux mots : Epargnez les Français !'' | |||
En 1877, "ce chêne ne présente plus qu'un tronc dénudé, au-dessus duquel un mince filet d'écorce entretient encore la sève d'un unique rameau beaucoup plus précoce que tous les autres chênes de la contrée. En 1827, Mme la Dauphine a planté tout auprès un jeune ormeau que les fermiers ont depuis entouré d'épines, comme le chêne." <ref>Guide France Bretagne, Adolphe Joanne - hachette et Cie - 1877</ref> Le chêne quadricentenaire tomba de vétusté à l'automne [[1896]]. | En 1877, "ce chêne ne présente plus qu'un tronc dénudé, au-dessus duquel un mince filet d'écorce entretient encore la sève d'un unique rameau beaucoup plus précoce que tous les autres chênes de la contrée. En 1827, Mme la Dauphine a planté tout auprès un jeune ormeau que les fermiers ont depuis entouré d'épines, comme le chêne." <ref>Guide France Bretagne, Adolphe Joanne - hachette et Cie - 1877</ref> Le chêne quadricentenaire tomba de vétusté à l'automne [[1896]]. |
modifications