« Julien Poulain Delaunay, prêtre martyr » : différence entre les versions

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Cinq ans plus tard, il est à Rennes et devient professeur au collège de Rennes. Ayant fait venir à Rennes ses parents et des neveux, il demande à être dispensé de l’obligation faite aux professeurs de prendre pension au collège, vu sa situation de famille. L’accord obtenu ne plaisant pas à l’évêque,  il démissionne de son poste  et  obtient un poste de premier chantre à l’église [[Toussaints]] le 11 mars 1776.  En 1788, il habite [[rue de la Parcheminerie]], et est taxé au rôle  "pour un domestique, 3 livres". Il est donc resté à Rennes mais dans les années 1787-1788, il est chapelain du monastère eudiste Notre-Dame de Charité à Caen, tout en conservant sa place de chantre à Rennes. Le  7 novembre 1788 à  Rennes : Delaunay établit une sorte de procuration autorisant Gilbert, prêtre, à percevoir du receveur de la fabrique  de Toussaints les honoraires liés à sa place de "chantre d'office de la paroisse.
Cinq ans plus tard, il est à Rennes et devient professeur au collège de Rennes. Ayant fait venir à Rennes ses parents et des neveux, il demande à être dispensé de l’obligation faite aux professeurs de prendre pension au collège, vu sa situation de famille. L’accord obtenu ne plaisant pas à l’évêque,  il démissionne de son poste  et  obtient un poste de premier chantre à l’église [[Toussaints]] le 11 mars 1776.  En 1788, il habite [[rue de la Parcheminerie]], et est taxé au rôle  "pour un domestique, 3 livres". Il est donc resté à Rennes mais dans les années 1787-1788, il est chapelain du monastère eudiste Notre-Dame de Charité à Caen, tout en conservant sa place de chantre à Rennes. Le  7 novembre 1788 à  Rennes : Delaunay établit une sorte de procuration autorisant Gilbert, prêtre, à percevoir du receveur de la fabrique  de Toussaints les honoraires liés à sa place de "chantre d'office de la paroisse.
Il postule, en vain, pour un emploi de professeur à l’université de Caen. Delaunay reprend sa place de chantre à Toussaints durant les quatre premiers mois de l'année 1790 puis c’est à nouveau Gilbert.
Il postule, en vain, pour un emploi de professeur à l’université de Caen. Delaunay reprend sa place de chantre à Toussaints durant les quatre premiers mois de l'année 1790 puis c’est à nouveau Gilbert.
 
[[Fichier:B%C3%A9atification_de_4_Rennais.png|250px|left|thumb|Ouest-Eclair du 9 octobre 1926]]
Le  10 décembre 1790, à  Rennes, on essaie de soulever les artisans contre la nouvelle municipalité. Le texte est de l’abbé Delaunay, ex-professeur du collège et "chantre à Toussaints", fonction qu’il n’assume pas car une délibération de la fabrique datée du 3 janvier 1791  "fait sçavoir à Delaunay qu’il n’occupe pas sa place de chantre".  <ref> (Martyrs eudistes, massacrés aux Carmes et à Saint-Firmin (2 et 3 septembre 1792) Jean-Baptiste Rovolt. J. de Gigord éditeur - 1926) </ref>  
Le  10 décembre 1790, à  Rennes, on essaie de soulever les artisans contre la nouvelle municipalité. Le texte est de l’abbé Delaunay, ex-professeur du collège et "chantre à Toussaints", fonction qu’il n’assume pas car une délibération de la fabrique datée du 3 janvier 1791  "fait sçavoir à Delaunay qu’il n’occupe pas sa place de chantre".  <ref> (Martyrs eudistes, massacrés aux Carmes et à Saint-Firmin (2 et 3 septembre 1792) Jean-Baptiste Rovolt. J. de Gigord éditeur - 1926) </ref>  


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