« René Marie Andrieux, prêtre martyr » : différence entre les versions

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Il a été béatifié  par le pape Pie XI le 17 octobre 1926, avec 190 autres  martyrs de la Révolution française, et une fête liturgique est  célébrée le 3 septembre chaque année.  
Il a été béatifié  par le pape Pie XI le 17 octobre 1926, avec 190 autres  martyrs de la Révolution française, et une fête liturgique est  célébrée le 3 septembre chaque année.  
[[Fichier:Saint-Firmin.png|250px|left|thumb|Ancien séminaire Saint-Firmin , 2 rue des Écoles, Paris 5e, en février 1910, détruit en 1920.(''photo Union photographique française)'']]
[[Fichier:Saint-Firmin.png|250px|left|thumb|Ancien séminaire Saint-Firmin , 2 rue des Écoles, Paris 5e, en février 1910, détruit en 1920.(''photo Union photographique française)'']]
René-Marie Andrieux fut, comme Marcel Callo un siècle et demi plus tard, victime de ses convictions religieuses. <ref> ''Le bienheureux René-Marie Andrieux : un martyr oublié, une mémoire à raviver''. Jean-Christophe Collet.https://www.rennes-infos-autrement.fr/ </ref>  
René-Marie Andrieux fut, comme [[Marcel Callo]] un siècle et demi plus tard, victime de ses convictions religieuses. <ref> ''Le bienheureux René-Marie Andrieux : un martyr oublié, une mémoire à raviver''. Jean-Christophe Collet.https://www.rennes-infos-autrement.fr/ </ref>  


En fait, la ville de Rennes, où René-Marie Andrieux est né et a grandi, a quelque peu ignoré ce bienheureux (dont la date de naissance est erronée). La raison en est peut-être à l'absence de toute évocation dans le journal l'''Ouest-Eclair'' qui, en 1926, après avoir égrené plusieurs noms de futurs bienheureux au fil de ses pages, donne un entrefilet citant quatre  noms de bientôt bienheureux qualifiés de Rennais, dont un seul, Julien Poulain dit Delaunay, a longtemps vécu à Rennes, chantre à l'église Toussaints, mais René Marie Andrieux est ignoré.
En fait, la ville de Rennes, où René-Marie Andrieux est né et a grandi, a quelque peu ignoré ce bienheureux (dont la date de naissance est erronée). La raison en est peut-être à l'absence de toute évocation dans le journal l'''Ouest-Eclair'' qui, en 1926, après avoir égrené plusieurs noms de futurs bienheureux au fil de ses pages, donne un entrefilet citant quatre  noms de bientôt bienheureux qualifiés de Rennais, dont un seul, Julien Poulain dit Delaunay, a longtemps vécu à Rennes, chantre à l'église Toussaints, mais René Marie Andrieux est ignoré.
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