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* Le 27 novembre [[1775]], René Colas, 22 ans, Sieur de La Motte, et Joseph Pinel, 33 ans, jardinier, sergent de la milice bourgeoise, sont interrogés étant accusés du meurtre de Jean Eon, 50 ans, mari de Marguerite Robert, portefaix [[rue Saint-Dominique]], trouvé moribond ''sur le pavé de la rue Reverdiais'', avant que les chirurgiens ne concluent qu'une voiture lui est passée sur le corps. Ils sont acquittés par la sentence du 28 novembre 1777 : ''"... Ils le virent assis au milieu du ruisseau qui est entre les trois carrefours de la place Sainte Anne, de la Visitation et de la Reverdiais, les pieds allongés et le visage tourné vers la place Sainte Anne, qui vassiloit quoyqu'assis comme pour vouloir dormir..."''<ref>Archives départementales d'Ille-et-Vilaine. 2B 1106.</ref>. | * Le 27 novembre [[1775]], René Colas, 22 ans, Sieur de La Motte, et Joseph Pinel, 33 ans, jardinier, sergent de la milice bourgeoise, sont interrogés étant accusés du meurtre de Jean Eon, 50 ans, mari de Marguerite Robert, portefaix [[rue Saint-Dominique]], trouvé moribond ''sur le pavé de la rue Reverdiais'', avant que les chirurgiens ne concluent qu'une voiture lui est passée sur le corps. Ils sont acquittés par la sentence du 28 novembre 1777 : ''"... Ils le virent assis au milieu du ruisseau qui est entre les trois carrefours de la place Sainte Anne, de la Visitation et de la Reverdiais, les pieds allongés et le visage tourné vers la place Sainte Anne, qui vassiloit quoyqu'assis comme pour vouloir dormir..."''<ref>Archives départementales d'Ille-et-Vilaine. 2B 1106.</ref>. | ||
* Au matin du 13 novembre 1931, on découvrait, dans la petite maison qu’il habitait au 153 rue d’Antrain, le cadavre de M. Alphonse LeMordant ''(ou Mordent, ou Lemordent, NDLR)''. Le quinquagénaire gisait sur son lit, les deux bras étroitement liés derrière le dos. Il portait à la nuque une large et profonde blessure. Une somme relativement importante avait disparu… le jardinier venait d’hériter d’une tante. L’enquête permit rapidement d’identifier les meurtriers. Il s’agissait de deux repris de justice. François Franc, 43 ans, et Gustave Lelièvre, 24 ans. Le « coup » leur avait été indiqué par un jeune ouvrier-boulanger de 17 ans, André Hervault, et un peintre en bâtiment Gustave Cotto.<ref>https://alter1fo.com/le-meurtre-de-la-rue-antrain-rennes-143731</ref> | * Au matin du 13 novembre 1931, on découvrait, dans la petite maison qu’il habitait au 153 rue d’Antrain, le cadavre de M. Alphonse LeMordant ''(ou Mordent, ou Lemordent, NDLR)''. Le quinquagénaire gisait sur son lit, les deux bras étroitement liés derrière le dos. Il portait à la nuque une large et profonde blessure. Une somme relativement importante avait disparu… le jardinier venait d’hériter d’une tante. L’enquête permit rapidement d’identifier les meurtriers. Il s’agissait de deux repris de justice. François Franc, 43 ans, et Gustave Lelièvre, 24 ans. Le « coup » leur avait été indiqué par un jeune ouvrier-boulanger de 17 ans, André Hervault, et un peintre en bâtiment Gustave Cotto.<ref>https://alter1fo.com/le-meurtre-de-la-rue-antrain-rennes-143731</ref> | ||
=== Un 4 août, rue d'Antrain === | |||
[[Fichier:Liesse_rue_d%27Antrain_1944.png|300px|left|thumb|La liesse le 4 août 1944, rue d'Antrain]] | |||
[[Fichier:Rue_d%27Antrain_sans_liesse.png|300px|center|thumb|N°62, rue d'Antrain sans liesse]] | |||
== Sur la carte == | == Sur la carte == |
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