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Ligne 13 : | Ligne 13 : | ||
=== Le Lotissement Cahours dans le quartier de la rue de Lorient (Rennes) === | === Le Lotissement Cahours dans le quartier de la rue de Lorient (Rennes) === | ||
Un '''lotissement Cahours''' a été réalisé vers 1864 à Rennes [[rue de la Carrière]], [[rue Desaix]], [[rue Marceau]], [[rue de Lorient]] et [[rue Louis Guilloux]]. Une rue fut même officieusement dénommée rue de Port Cahours, | Un '''lotissement Cahours''' a été réalisé vers 1864 à Rennes [[rue de la Carrière]], [[rue Desaix]], [[rue Marceau]], [[rue de Lorient]] et [[rue Louis Guilloux]]. Une rue fut même officieusement dénommée rue de Port Cahours, nomen référence à un petit port d'accostage situé le long de la [[Vilaine]]; la rue fut renommée [[Rue Levot]]. | ||
La nouvelle route de Lorient est percée vers 1860, à l´initiative d'Achille Cahours. | La nouvelle route de Lorient est percée vers 1860, à l´initiative d'Achille Cahours. | ||
Ligne 22 : | Ligne 22 : | ||
Le T.I.V et le tramway électrique passent à Port-Cahours et on y enregistra divers accidents au fil des années. | Le T.I.V et le tramway électrique passent à Port-Cahours et on y enregistra divers accidents au fil des années. | ||
Pendant plusieurs décennies | Pendant plusieurs décennies l' ''E.S Port-Cahours'' disputa les rencontres de football avec échos dans l'Ouest-Éclair. | ||
Jean Dejean et Achille Cahours, déjà propriétaires de terrains à Dinard, se lancèrent aussi en 1872- 1873 dans l’achat de 20 000 m2 de terrains sur le bord de la mer à Paramé dits '''dunes des Nielles''' au prix de 4 frs le m2 (propriétés Les Jonchées ou La Pitellière ou Beau Rivage). | Jean Dejean et Achille Cahours, déjà propriétaires de terrains à Dinard, se lancèrent aussi en 1872- 1873 dans l’achat de 20 000 m2 de terrains sur le bord de la mer à Paramé dits '''dunes des Nielles''' au prix de 4 frs le m2 (propriétés Les Jonchées ou La Pitellière ou Beau Rivage). | ||
En l’espace de trente ans (1880-1911), ce littoral des communes de Saint-Malo et Paramé fut couvert par 700 maisons de villégiature et une cinquantaine d'hôtels et pensions de famille. | En l’espace de trente ans (1880-1911), ce littoral des communes de Saint-Malo et Paramé fut couvert par 700 maisons de villégiature et une cinquantaine d'hôtels et pensions de famille. |
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