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L'abbé Jean-Marie Conrad Mouëzy, né de parents cultivateurs et récent prêtre, est nommé vicaire à Pocé en juillet 1909<ref>L'Ouest-Eclair du 31 juillet 1909, page 3</ref>. Alors qu'il fait la grande Guerre dans un service d'ambulance, il est cité par l'armée en juin 1917 : "''Au cours du bombardement meurtrier de l'ambulance, dans la nuit du 25 mai, s'est particulièrement signalé par son courage et son dévouement, en contribuant à assurer aux blessés les premiers soins et leur rapide évacuation''"<ref>L'Ouest-Eclair du 30 juin 1917, page 3</ref>. Il demande en août 1918 à être affecté au 1er régiment de zouaves, 11ème bataillon, et est sérieusement intoxiqué le 29 août 1918<ref>L'Ouest-Eclair du 1er février 1919, page 5</ref>. Il obtient par cette occasion une deuxième citation à l'ordre du régiment.
L'abbé Jean-Marie Conrad Mouëzy, né de parents cultivateurs et récent prêtre, est nommé vicaire à Pocé en juillet 1909<ref>L'Ouest-Eclair du 31 juillet 1909, page 3</ref>. Alors qu'il fait la grande Guerre dans un service d'ambulance, il est cité par l'armée en juin 1917 : "''Au cours du bombardement meurtrier de l'ambulance, dans la nuit du 25 mai, s'est particulièrement signalé par son courage et son dévouement, en contribuant à assurer aux blessés les premiers soins et leur rapide évacuation''"<ref>L'Ouest-Eclair du 30 juin 1917, page 3</ref>. Il demande en août 1918 à être affecté au 1er régiment de zouaves, 11ème bataillon, et est sérieusement intoxiqué le 29 août 1918<ref>L'Ouest-Eclair du 1er février 1919, page 5</ref>. Il obtient par cette occasion une deuxième citation à l'ordre du régiment.
D'abord vicaire à la paroisse [[Saint-Hélier]] à partir d'août 1919<ref>L'Ouest-Eclair du 3 août 1919, page 5</ref>, il fut installé premier curé de la nouvelle paroisse [[Sainte-Thérèse]] par Mgr Mignen le 20 novembre 1932, après 29 ans de sacerdoce. D'abord installé dans une église provisoire, modeste salle aménagée à cet effet<ref>L'Ouest-Eclair du 20 juillet 1933, page 6</ref>, il s'employa à la construction de la nouvelle église achevée en 1934, et eut l'initiative d'écoles, patronage et associations sportives. Il vit alors [[rue Bigot de Préameneu]], à Rennes. Il est nommé chanoine honoraire de l'église métropolitaine en juin 1936<ref>L'Ouest-Eclair du 3 juin 1936, page 6</ref>. Le cardinal Roques<ref>Voir [[rue Cardinal Roques]]</ref> le nomma chanoine puis en octobre prélat de la Maison de Sa Sainteté le 6 octobre 1957.
 
D'abord nommé vicaire à la paroisse [[Saint-Hélier]] à partir d'août 1919<ref>L'Ouest-Eclair du 3 août 1919, page 5</ref>, il fut installé premier curé de la nouvelle paroisse [[Sainte-Thérèse]] par Mgr Mignen le 20 novembre 1932, après 29 ans de sacerdoce. Dans un premier temps installé dans une église provisoire, modeste salle aménagée à cet effet<ref>L'Ouest-Eclair du 20 juillet 1933, page 6</ref>, il s'employa à la construction de la nouvelle église achevée en 1934, et eut l'initiative d'écoles, patronage et associations sportives. Il vit alors [[rue Bigot de Préameneu]], à Rennes. Il est nommé chanoine honoraire de l'église métropolitaine en juin 1936<ref>L'Ouest-Eclair du 3 juin 1936, page 6</ref>. Le cardinal Roques<ref>Voir [[rue Cardinal Roques]]</ref> le nomma chanoine puis prélat de la Maison de Sa Sainteté le 6 octobre 1957.




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