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'''Première femme interne des hôpitaux de Rennes | '''Première femme interne des hôpitaux de Rennes | ||
(28 juin 1901, Rennes - 1971, Rennes)''' | (28<ref>29 selon L'Ouest-Eclair du 30 juin 1901, page 2</ref> juin 1901, Rennes - 1971<ref>Certainement avant 1970 car n'apparaît pas dans la liste des décès de l'INSEE après 1970</ref>, Rennes)''' | ||
Marie–Louise Chevrel fut professeur d’anatomie pathologique à la faculté de médecine et médecin chef du laboratoire central des hôpitaux de [[Rennes]]. '''Première femme interne des hôpitaux de Rennes''' en 1923, elle s’engagea fortement pour la '''défense des femmes médecins.''' | Marie–Louise Eugénie Chevrel fut professeur d’anatomie pathologique à la faculté de médecine et médecin chef du laboratoire central des hôpitaux de [[Rennes]]. '''Première femme interne des hôpitaux de Rennes''' en 1923, elle s’engagea fortement pour la '''défense des femmes médecins.''' | ||
Marie-Louise Chevrel est la fille du docteur Eugène Bodin (1868-1931), professeur de dermatologie à l’Hôtel-Dieu de Rennes, et responsable de l’institut de bactériologie de l’école de médecine de Rennes. Sa mère, [[Louise Bodin]] (1877-1929), est connue sous le nom de « la bolchévique aux bijoux » car en 1921, soucieuse de lutter contre les injustices et inégalités, elle adhère au parti communiste puis devient secrétaire de la fédération communiste d’Ille-et-Vilaine. | Marie-Louise Chevrel est la fille du docteur Eugène Bodin (1868-1931), professeur de dermatologie à l’Hôtel-Dieu de Rennes, et responsable de l’institut de bactériologie de l’école de médecine de Rennes. Sa mère, [[Louise Bodin]] (1877-1929), est connue sous le nom de « la bolchévique aux bijoux » car en 1921, soucieuse de lutter contre les injustices et inégalités, elle adhère au parti communiste puis devient secrétaire de la fédération communiste d’Ille-et-Vilaine. | ||
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