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'''Résistant déporté''', Sévignac-Mérignac | '''Résistant déporté''', (Sévignac-Mérignac, Pyrénées-Atlantiques - 24 août 1944, Neuengamme). | ||
Maurice Ladoumègue - qui ne porte pas un patronyme breton - est un instituteur public à l'école de préapprentissage (cours d'enseignement général et de géométrie pratique) <ref>L'Ouest-Eclair du 20 juillet 1941, page 3</ref> (aujourd'hui [[Lycée Charles Tillon]]), domicilié 12 [[rue de Châteaudun]] à Rennes. Il est membre des ''Corps Francs Vengeance'' du Morbihan. Son domicile sert de boîte aux lettres et de lieu de rencontre, | Maurice Ladoumègue - qui ne porte pas un patronyme breton - est un instituteur public à l'école de préapprentissage (cours d'enseignement général et de géométrie pratique) <ref>L'Ouest-Eclair du 20 juillet 1941, page 3</ref> (aujourd'hui [[Lycée Charles Tillon]]), domicilié 12 [[rue de Châteaudun]] à Rennes. Il est membre des ''Corps Francs Vengeance'' du Morbihan. Son domicile sert de boîte aux lettres et de lieu de rencontre, dans lequel tombèrent des résistants . Il y est arrêté le 9 mai 1944. Le lendemain, [[Maurice Prestaut]], chef du mouvement Libé Nord en Ille-et-Vilaine, est pris ainsi que [[Pierre Gicquel]] à ce domicile devenu une souricière montée par le SD. La femme et la fille d'[[Albert Treyture]] y sont aussi arrêtées. La compagne de Maurice, Antoinette Lanusse, fut arrêtée le 19 mai, déportée le 2 août 1944 et reviendra de Ravensbruck le 9 avril 1945. Transféré de Rennes à Compiègne le 29 juin 1944, Maurice Ladoumègue est déporté le 28 juillet 1944 de Compiègne vers Neuengamme. (Matricule 39858). Il décède le 24 août 1944 à Neuengamme<ref> ACP 27 P6 Caen.</ref>. | ||
===Références=== | ===Références=== |
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