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Il commence à publier les résultats de ses collectes dans les ''Gwerziou'' (« Chants » ou complaintes), puis les ''Soniou'' (« Chansons »), en édition bilingue. Le second volume de ''gwerziou'' parait en 1874. Puis il publie en français des ''Contes et Récits populaires des Bretons armoricains''. Le recueil bilingue de ''Soniou'' parait en 1890, avec la collaboration d'Anatole Le Braz qui rédige la préface.
Il commence à publier les résultats de ses collectes dans les ''Gwerziou'' (« Chants » ou complaintes), puis les ''Soniou'' (« Chansons »), en édition bilingue. Le second volume de ''gwerziou'' parait en 1874. Puis il publie en français des ''Contes et Récits populaires des Bretons armoricains''. Le recueil bilingue de ''Soniou'' parait en 1890, avec la collaboration d'Anatole Le Braz qui rédige la préface.


En 1872, il lut au congrès de l'''Association bretonne'' à Saint-Brieuc une mise en cause de l'authenticité des chants du ''Barzaz Breiz'' publié par Théodore [[Hersart de la Villemarqué]] 33 ans plus tôt. Une polémique s'ensuivit et son texte, refusé par l'Association bretonne, fut édité par ses soins. Cette polémique dura plus d'un siècle.
En 1872, il lut au congrès de l'''Association bretonne'' à Saint-Brieuc une mise en cause de l'authenticité des chants du ''Barzaz Breiz'' publié par {{w|Théodore Hersart de la Villemarqué}} 33 ans plus tôt. Une polémique s'ensuivit et son texte, refusé par l'Association bretonne, fut édité par ses soins. Cette polémique dura plus d'un siècle.


Il fut journaliste politique de 1874 à 1880 à l'''Avenir de Morlaix'', journal républicain, puis juge de paix à Daoulas. En 1881, il trouva une position fixe en qualité de conservateur des Archives départementales du Finistère à Quimper. Il y rencontra Anatole Le Braz<ref>[[Rue Anatole Le Braz]]</ref>, alors professeur, qui devint son disciple et continua son œuvre.
Il fut journaliste politique de 1874 à 1880 à l'''Avenir de Morlaix'', journal républicain, puis juge de paix à Daoulas. En 1881, il trouva une position fixe en qualité de conservateur des Archives départementales du Finistère à Quimper. Il y rencontra Anatole Le Braz<ref>[[Rue Anatole Le Braz]]</ref>, alors professeur, qui devint son disciple et continua son œuvre.

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