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Les 2 et 3 août 1944, jours précédant la [[libération de Rennes]], le bureau d’Emilienne est un véritable PC. À partir de février 1944, donc d'abord clandestinement, elle dirige à Rennes la section du comité des œuvres sociales des organisations de Résistance (COSOR)
Les 2 et 3 août 1944, jours précédant la [[libération de Rennes]], le bureau d’Emilienne est un véritable PC. À partir de février 1944, donc d'abord clandestinement, elle dirige à Rennes la section du comité des œuvres sociales des organisations de Résistance (COSOR)


Puis c’est la [[libération de Rennes]]. Emilienne devient membre du second comité départemental de la Libération  et, à ce titre, elle visita le [[camp Margueritte]]  où étaient détenues des internées et internés administratifs <ref>[[ Après la libération, les internées administratives au camp Margueritte]]</ref>
Puis c’est la [[libération de Rennes]]. Emilienne devient membre du second comité départemental de la Libération  et, à ce titre, elle visita le [[camp Margueritte]]  où étaient détenues des internées et internés administratifs <ref>[[Après la libération, les internées administratives au camp Margueritte]]</ref>
Au comité siégeait aussi avec Charles Foulon, secrétaire général, Hubert  de Solminihac qui épousera Émilienne et [[Charles Foulon ]] , en évoquant les mémoires de ses camarades, constata que, dans la clandestinité, ce couple comme d’autres se retrouva « doublement uni par l’amour et par l’idéal ».
Au comité siégeait aussi avec Charles Foulon, secrétaire général, Hubert  de Solminihac qui épousera Émilienne et Charles Foulon<ref>[[Avenue Professeur Charles Foulon]]</ref> , en évoquant les mémoires de ses camarades, constata que, dans la clandestinité, ce couple comme d’autres se retrouva « doublement uni par l’amour et par l’idéal ».
Émilienne suivra son mari dans sa carrière de haut fonctionnaire : sous-préfet à Fougères puis à Brest et préfet à Saïda en Algérie en 1961 et 1962, où elle s’emploiera à soulager la misère de la population algérienne.
Émilienne suivra son mari dans sa carrière de haut fonctionnaire : sous-préfet à Fougères puis à Brest et préfet à Saïda en Algérie en 1961 et 1962, où elle s’emploiera à soulager la misère de la population algérienne.
Elle fut inhumée avec son mari au cimetière de l’Est à Rennes.
Elle fut inhumée avec son mari au cimetière de l’Est à Rennes.


===Références===
===Références===

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