« Edgar Le Bastard » : différence entre les versions

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En lieu et place du parc des Gayeulles, un hippodrome faisait la plus grande joie des Rennais ou des Rennaises entre 1884 et 1978. Construit sous l’égide du maire Edgar Le Bastard, il remplaçait un champ de courses encore plus ancien, situé sur les landes de la Courrouze.  
En lieu et place du parc des Gayeulles, un hippodrome faisait la plus grande joie des Rennais ou des Rennaises entre 1884 et 1978. Construit sous l’égide du maire Edgar Le Bastard, il remplaçait un champ de courses encore plus ancien, situé sur les landes de la Courrouze.  


Dans les premiers temps, le lieu était quelque peu archaïque. Mais dès 1905, la société des courses décroche le droit d’édifier une tribune. Ce fut le début de réunions très suivies comme celle du mois d’avril 1933 (voir notre photo ci-dessous) où se pressaient le général Langlois, Oscar  Leroux (adjoint au maire), Monsieur Perchais, vice-président de la chambre de commerce…  
Dans les premiers temps, le lieu était quelque peu archaïque. Mais dès 1905, la société des courses décroche le droit d’édifier une tribune. Ce fut le début de réunions très suivies comme celle du mois d’avril 1933 où se pressaient le général Langlois, Oscar  Leroux (adjoint au maire), Monsieur Perchais, vice-président de la chambre de commerce…  


“C’était un spectacle magnifique”, écrivait le journaliste de l’Ouest-Eclair un brin lyrique. “Sous les ardents rayons du soleil les beaux « pur-sang » luisaient d’un poil superbe et les casaques soyeuses resplendissaient des tons les plus chatoyants. La foule allait et venait, admirant ces beaux coursiers, pleins de feu et piaffaient d’impatience. Puis ils couraient au guichet du mutuel pour appuyer la chance du favori ou du tocard.”
“C’était un spectacle magnifique”, écrivait le journaliste de l’Ouest-Eclair un brin lyrique. “Sous les ardents rayons du soleil les beaux « pur-sang » luisaient d’un poil superbe et les casaques soyeuses resplendissaient des tons les plus chatoyants. La foule allait et venait, admirant ces beaux coursiers, pleins de feu et piaffaient d’impatience. Puis ils couraient au guichet du mutuel pour appuyer la chance du favori ou du tocard.”
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