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[[Catégorie:Seconde Guerre mondiale]]
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=== Parmi les premiers dans les FFL, dès juillet 1940, des Rennais ===


De jeunes  Rennais, au moins une trentaine, qu'ils aient entendu ou pas l'appel du général de Gaule, alors que d'autres jeunes pédalaient vers le sud pour fuir l'Allemand, ont fait un choix contraire : partir pour l'Angleterre ou y rester  pour continuer le combat dans les Forces françaises libres (FFL).
De jeunes  Rennais, au moins une trentaine, qu'ils aient entendu ou pas l'appel du général de Gaule, alors que d'autres jeunes pédalaient vers le sud pour fuir l'Allemand, ont fait un choix contraire : partir pour l'Angleterre ou y rester  pour continuer le combat dans les Forces françaises libres (FFL).
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Le 15 juin 1940, fait prisonnier par les Allemands, il s'évade en décembre 1940, et revient à Rennes. Traqué par les S.S., il se cache [[rue de Nantes]], travaille dans le bâtiment, mais souhaite rejoindre la France Libre. Il quitte  Rennes le 3 avril 1942 et rejoint l'Espagne. Parachuté en France le 6 juin 1944 au-dessus du moulin de Plumelec (Morbihan), il participe à l’instruction des maquisards de Saint-Marcel, ainsi qu’aux opérations de parachutage, au P.C de La Nouette.
Le 15 juin 1940, fait prisonnier par les Allemands, il s'évade en décembre 1940, et revient à Rennes. Traqué par les S.S., il se cache [[rue de Nantes]], travaille dans le bâtiment, mais souhaite rejoindre la France Libre. Il quitte  Rennes le 3 avril 1942 et rejoint l'Espagne. Parachuté en France le 6 juin 1944 au-dessus du moulin de Plumelec (Morbihan), il participe à l’instruction des maquisards de Saint-Marcel, ainsi qu’aux opérations de parachutage, au P.C de La Nouette.
Avec ses hommes, il prend une part active au  combat du 18 juin, lors de l’attaque allemande sur Saint-Marcel. Afin d’assurer le repli et la sécurité d’un groupe de résistants, il revient vers Plumelec. Le 29 juin, à la suite d’une dénonciation, il est encerclé par les Allemands à la ferme de Romungol-du-Bas. Il est tué après avoir épuisé les trois chargeurs de son arme. <ref>[[rue Auguste Chilou]]</ref>
Avec ses hommes, il prend une part active au  combat du 18 juin, lors de l’attaque allemande sur Saint-Marcel. Afin d’assurer le repli et la sécurité d’un groupe de résistants, il revient vers Plumelec. Le 29 juin, à la suite d’une dénonciation, il est encerclé par les Allemands à la ferme de Romungol-du-Bas. Il est tué après avoir épuisé les trois chargeurs de son arme. <ref>[[rue Auguste Chilou]]</ref>
=== Et, parmi les premiers dans les FFL, dès juillet 1940, des Rennais ===


On dénombre aussi parmi les tout premiers engagés dans les FFL (Forces françaises libres), dès juillet 1940, plus d'une quinzaine de jeunes marins Rennais, la plupart âgés  de 19 ou 20 ans, ainsi qu'une vingtaine d'autres dans d'autres armes. <ref> http://www.france-libre.net/images/stories/pdf/liste-des-ffl.pdf </ref>
On dénombre aussi parmi les tout premiers engagés dans les FFL (Forces françaises libres), dès juillet 1940, plus d'une quinzaine de jeunes marins Rennais, la plupart âgés  de 19 ou 20 ans, ainsi qu'une vingtaine d'autres dans d'autres armes. <ref> http://www.france-libre.net/images/stories/pdf/liste-des-ffl.pdf </ref>
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