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Fin décembre 1941 : sectionnement d’un câble de transmission de la Wehrmacht dans le bois de Meudon avec Bourdarias. | Fin décembre 1941 : sectionnement d’un câble de transmission de la Wehrmacht dans le bois de Meudon avec Bourdarias. | ||
le 3 janvier 1942 : attaque d’un local du RNP 11 bis rue de la Procession (XVe). | le 3 janvier 1942 : attaque d’un local du RNP 11 bis rue de la Procession (XVe). | ||
[[Fichier:Plaque_Louis_Coquillet.jpg|450px|left|Plaque apposée au palais Saint-Georges]] | |||
Il est arrêté dans un restaurant au cours d'un contrôle d'identité de la police allemande. On trouva sur lui un cachet de cyanure qu’il avait pour consigne d’avaler pour ne pas tomber vivant aux mains de la police. À la prison de la Santé il est torturé. Les Allemands, au printemps de 1942, organisent deux procès à grand spectacle pour stigmatiser le « terrorisme » et assurer son éradication. Après le procès du Palais-Bourbon en mars c'est, du 7 au 14 avril, celui de la Maison de la Chimie,transformée en tribunal militaire, dont un petit film a été retrouvé sans bande son, <ref> https://www.ushmm.org/wlc/en/media_fi.php?MediaId=1549&ModuleId=10005420 </ref> , et 23 hommes, dont Louis Coquillet, furent condamnés à mort et fusillés, le 17 avril 1942, au Mont-Valérien à Paris. | Il est arrêté dans un restaurant au cours d'un contrôle d'identité de la police allemande. On trouva sur lui un cachet de cyanure qu’il avait pour consigne d’avaler pour ne pas tomber vivant aux mains de la police. À la prison de la Santé il est torturé. Les Allemands, au printemps de 1942, organisent deux procès à grand spectacle pour stigmatiser le « terrorisme » et assurer son éradication. Après le procès du Palais-Bourbon en mars c'est, du 7 au 14 avril, celui de la Maison de la Chimie,transformée en tribunal militaire, dont un petit film a été retrouvé sans bande son, <ref> https://www.ushmm.org/wlc/en/media_fi.php?MediaId=1549&ModuleId=10005420 </ref> , et 23 hommes, dont Louis Coquillet, furent condamnés à mort et fusillés, le 17 avril 1942, au Mont-Valérien à Paris. | ||
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Le 17 avril [[2010]], une plaque à la mémoire du jeune héros a été dévoilée dans la cour de la caserne du [[Palais Saint-Georges]] <ref>Source : [[Ouest-France]], édition des 17 et 18 avril 2010</ref>. | Le 17 avril [[2010]], une plaque à la mémoire du jeune héros a été dévoilée dans la cour de la caserne du [[Palais Saint-Georges]] <ref>Source : [[Ouest-France]], édition des 17 et 18 avril 2010</ref>. | ||
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==Notes et références== | ==Notes et références== |
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