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Paul Féval rêve de Paris dans sa chambre de la [[rue Saint-Martin]] où il a une carte de la capitale sur le mur et connaît tous les noms de rues par cœur. Un jour il monte donc à Paris et y devient commis de banque, mais il est renvoyé car il a été surpris en train de lire un livre de Balzac. Correcteur au ''Nouvelliste'', il écrit quelques articles qui le font connaître et, en 1841, son récit ''Le Club des Phoques'' dans la ''Revue de Paris'' connut le succès. | Paul Féval rêve de Paris dans sa chambre de la [[rue Saint-Martin]] où il a une carte de la capitale sur le mur et connaît tous les noms de rues par cœur. Un jour il monte donc à Paris et y devient commis de banque, mais il est renvoyé car il a été surpris en train de lire un livre de Balzac. Correcteur au ''Nouvelliste'', il écrit quelques articles qui le font connaître et, en 1841, son récit ''Le Club des Phoques'' dans la ''Revue de Paris'' connut le succès. | ||
Il commence à écrire lui-même des histoires sur fond de Bretagne. | Il commence à écrire lui-même des histoires sur fond de Bretagne. Il va créer en 1858, sous forme de roman feuilletons dans un journal, son personnage le plus connu, celui du Bossu, qui sera interprété au cinéma, entre autres, par Jean Marais, Jean Piat, Daniel Auteuil ou Bruno Wolkowitch. | ||
Se revendiquant breton, Paul Féval utilisa souvent les thèmes de la chouannerie dans ses nombreux romans. Il donna aussi des pièces de théâtre. | Se revendiquant breton, Paul Féval utilisa souvent les thèmes de la chouannerie dans ses nombreux romans. Il donna aussi des pièces de théâtre. |
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