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En janvier 1829, il est à Nantes et va s’impliquer dans la vie culturelle de la ville tout en travaillant d’abord comme employé chez Camille Mellinet, imprimeur-libraire et éditeur, qui publie en 1829 deux de ses recueils poétiques. En septembre 1831, il accompagne Édouard Charton dans son périple de propagande saint-simonienne en Bretagne puis est recruté comme co-directeur d’une école privée. Il écrit à Turquety combien cela l’ennuie, compare les enfants à des perroquets bavards et les plaint. | En janvier 1829, il est à Nantes et va s’impliquer dans la vie culturelle de la ville tout en travaillant d’abord comme employé chez Camille Mellinet, imprimeur-libraire et éditeur, qui publie en 1829 deux de ses recueils poétiques. En septembre 1831, il accompagne Édouard Charton dans son périple de propagande saint-simonienne en Bretagne puis est recruté comme co-directeur d’une école privée. Il écrit à Turquety combien cela l’ennuie, compare les enfants à des perroquets bavards et les plaint. | ||
Un de ses romans, "''Riche et pauvre''", publié en 1836, voit son intrigue se dérouler à [[Rennes]]<ref>Selon "L’Évènement Rennais" du 28 août 1903, page 2</ref>. | |||
Il part s’installer comme avocat à Morlaix puis à Brest où il devient professeur de rhétorique mais il lui est recommandé un climat moins maritime. Il obtient un poste équivalent à Mulhouse puis à Paris. Son livre ''Les Derniers Bretons'' est publié en feuilleton dans La ''Revue des deux Mondes''. Il devient rédacteur à La ''Revue de Paris''. | Il part s’installer comme avocat à Morlaix puis à Brest où il devient professeur de rhétorique mais il lui est recommandé un climat moins maritime. Il obtient un poste équivalent à Mulhouse puis à Paris. Son livre ''Les Derniers Bretons'' est publié en feuilleton dans La ''Revue des deux Mondes''. Il devient rédacteur à La ''Revue de Paris''. |
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