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Son père Jules, juge au tribunal civil de Rennes, est passionné par l'histoire de Bretagne. Paul Jacques Trémeur Banéat fait ses études au [[collège Saint-Vincent]] de Rennes.  
Son père Jules, juge au tribunal civil de Rennes, est passionné par l'histoire de Bretagne. Paul Jacques Trémeur Banéat fait ses études au [[collège Saint-Vincent]] de Rennes.  
Docteur en droit, il est avocat à la cour d'appel de Rennes de 1877 à 1892.
Docteur en droit, il est avocat à la cour d'appel de Rennes de 1877 à 1892.
Il est membre de la Société archéologique d'Ille-et-Vilaine, qu'il préside de 1906 à 1908. Il publie plusieurs ouvrages sur l'Histoire de la Bretagne, exploitant les actes notariés, les archives départementales d'Ille-et-Vilaine et les [[archives municipales de Rennes]]. Directeur du musée archéologique de Rennes de 1906 à sa mort en 1942, il dresse et publie des inventaires dans le bulletin de la Société archéologique d'Ille-et-Vilaine.
Il est membre de la Société archéologique d'Ille-et-Vilaine, qu'il préside de 1906 à 1908. Il fait partie des principaux collaborateurs au journal "''La Vie Rennaise''"<ref>Selon le prospectus annonçant la fondation du journal daté du 25 septembre 1909</ref>. Il publie plusieurs ouvrages sur l'Histoire de la Bretagne, exploitant les actes notariés, les archives départementales d'Ille-et-Vilaine et les [[archives municipales de Rennes]]. Directeur du musée archéologique de Rennes de 1906 à sa mort en 1942, il dresse et publie des inventaires dans le bulletin de la Société archéologique d'Ille-et-Vilaine.
Il présida le comité rennais de la Société française de secours aux blessés militaires à partir de 1909. Ses deux fils, Alain<ref>mort le 24 août 1914, selon L'Ouest-Eclair du 13 septembre 1914, page 3</ref> et Jacques<ref>Selon L'Ouest-Eclair du 30 septembre 1914, page 3</ref> sont tués dès les premiers mois de la Première Guerre mondiale. Son dévouement et son activité à la tête du comité seront récompensés par la Légion d'honneur.
Il présida le comité rennais de la Société française de secours aux blessés militaires à partir de 1909. Ses deux fils, Alain<ref>mort le 24 août 1914, selon L'Ouest-Eclair du 13 septembre 1914, page 3</ref> et Jacques<ref>Selon L'Ouest-Eclair du 30 septembre 1914, page 3</ref> sont tués dès les premiers mois de la Première Guerre mondiale. Son dévouement et son activité à la tête du comité seront récompensés par la Légion d'honneur.
Il fut conseiller municipal de Rennes de 1900 à 1908, et membre durant la même période du bureau de bienfaisance de la ville.
Il fut conseiller municipal de Rennes de 1900 à 1908, et membre durant la même période du bureau de bienfaisance de la ville.
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