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« Contour de la Motte » : différence entre les versions

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Le '''contour de la Motte''' est une voie axée nord-sud, large et pentue, qui relie la [[rue Gambetta]] à la [[rue Général Maurice Guillaudot]], commençant à hauteur de la [[rue Victor Hugo]] et s'achevant à hauteur de la [[rue des Fossés]] et de la [[rue Martenot]]. Il borde à l'ouest, le [[square de la Motte]].
Le '''contour de la Motte''' est une voie axée nord-sud, large et pentue, qui relie la [[rue Gambetta]] à la [[rue Général Maurice Guillaudot]], commençant à hauteur de la [[rue Victor Hugo]] et s'achevant à hauteur de la [[rue des Fossés]] et de la [[rue Martenot]]. Il borde à l'ouest, le [[square de la Motte]].


== A travers l'Histoire de la ville ==
===Un haut lieu historique de Rennes===
===Un haut lieu historique de Rennes===
[[Fichier:Ancienne_porte_saint_georges.jpeg|250px|left|thumb|L'ancienne porte Saint-Georges vers 1840, par H. Lorette <ref>Album breton, ''Souvenirs de Rennes''</ref>, à l'emplacement de l'intersection Contour de la Motte et rue Victor Hugo]]
[[Fichier:Ancienne_porte_saint_georges.jpeg|250px|left|thumb|L'ancienne porte Saint-Georges vers 1840, par H. Lorette <ref>Album breton, ''Souvenirs de Rennes''</ref>, à l'emplacement de l'intersection Contour de la Motte et rue Victor Hugo]]
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===Souvent réaménagé===
===Souvent réaménagé===


Sur le côté ouest s'élèvent ''l'[[hôtel de Robien de Kerambourg]]'' au n°3, ''l'hôtel de Kersalaün'' au n°5, construit après l'[[incendie de 1720]], en face duquel un escalier construit en 1739, fut ôté en 1846 pour l'abaissement du niveau de la voie, et ''l'[[hôtel de Bizien]]'', construit en 1703, qui abrita, de 1866 à  1872, le quartier général de la 16e division militaire, transféré [[rue de Corbin]], puis fut mis à la disposition de l'évêché de [[1905]] à 1982 et abrite le Tribunal administratif depuis janvier 1997.(On y voit sculptées, en haut à gauche, les armes du cardinal Charost, décédé le 7 novembre 1930 à Rennes).
Sur le côté ouest s'élèvent ''l'[[hôtel de Robien de Kerambourg]]'' au n°3, ''l'hôtel de Kersalaün'' au n°5, construit après l'[[incendie de 1720]], en face duquel un escalier construit en 1739, fut ôté en 1846 pour l'abaissement du niveau de la voie, et ''l'[[hôtel de Bizien]]'', construit en 1703, qui abrita, de 1866 à  1872, le quartier général de la 16e division militaire, transféré [[rue de Corbin]], puis fut mis à la disposition de l'évêché de [[1905]] à 1982 et abrite le Tribunal administratif depuis janvier 1997.(On y voit sculptées, en haut à gauche, les armes du cardinal Charost, décédé le 7 novembre 1930 à Rennes).


En haut du Contour, côté est, se trouve le [[square de la Motte]], version moderne de la promenade créée en [[1659]] sur des terrains qui avaient été prélevés en [[1424]] à l'abbaye de Saint-Georges pour la construction de la deuxième enceinte démolie pour cette promenade, de forme ovale, visible sur la plan Hévin de 1685, appelée ''Motte à Madame'', abréviation alors usuelle de "Motte à Madame l'Abbesse". C'est sur cette promenade que furent célébrées, pendant la 1ere République, la fête des enfants et celle des vieillards. La promenade fut maintes fois réaménagée. La partie descendante, au sud-est, était munie d'un grand escalier de granit, dessiné par l'architecte [[Millardet]] en 1829, aménagé pour recevoir des fontaines et déplacé en 1899 pour l'entrée sud du [[Thabor]], donnant sur la [[rue de Paris]].<ref>''Les rues de Rennes'', par Lucien Decombe. Le Roy, éditeur - 1892</ref>
En haut du Contour, côté est, se trouve le [[square de la Motte]], version moderne de la promenade créée en [[1659]] sur des terrains qui avaient été prélevés en [[1424]] à l'abbaye de Saint-Georges pour la construction de la deuxième enceinte démolie pour cette promenade, de forme ovale, visible sur la plan Hévin de 1685, appelée ''Motte à Madame'', abréviation alors usuelle de "Motte à Madame l'Abbesse". C'est sur cette promenade que furent célébrées, pendant la 1ere République, la fête des enfants et celle des vieillards. La promenade fut maintes fois réaménagée. La partie descendante, au sud-est, était munie d'un grand escalier de granit, dessiné par l'architecte [[Millardet]] en 1829, aménagé pour recevoir des fontaines et déplacé en 1899 pour l'entrée sud du [[Thabor]], donnant sur la [[rue de Paris]]<ref>''Les rues de Rennes'', par Lucien Decombe. Le Roy, éditeur - 1892</ref>.


===Très apprécié par ces messieurs du Parlement===
===Très apprécié par ces messieurs du Parlement===


La noblesse parlementaire apparaît, extra muros, sur la Motte après 1640 : un conseiller au parlement, Jean-Jacques de Renouard de Villayer, construisit de [[1659]] à [[1692]] l'hôtel qui va devenir propriété des Farcy de Cuillé vers [[1740]]. Le quartier est, en [[1727]], devant [[les Lices]], le principal lieu d'habitation des parlementaires, conséquence de l'[[incendie de 1720]]. On en compta jusqu'à une quinzaine mais ils n'étaient plus qu'une demi-douzaine quarante ans plus tard.<ref>''Habiter les villes de cours souveraines en France (XVIe-XVIIIe s). Pas au sud de la Vilaine'', par Gauthier Aubert, publié, sous la direction de Clarisse Coulomb, par MSH-Alpes -2008</ref>
La noblesse parlementaire apparaît, extra muros, sur la Motte après 1640 : un conseiller au parlement, Jean-Jacques de Renouard de Villayer, construisit de [[1659]] à [[1692]] l'hôtel qui va devenir propriété des Farcy de Cuillé vers [[1740]]. Le quartier est, en [[1727]], devant [[les Lices]], le principal lieu d'habitation des parlementaires, conséquence de l'[[incendie de 1720]]. On en compta jusqu'à une quinzaine mais ils n'étaient plus qu'une demi-douzaine quarante ans plus tard<ref>''Habiter les villes de cours souveraines en France (XVIe-XVIIIe s). Pas au sud de la Vilaine'', par Gauthier Aubert, publié, sous la direction de Clarisse Coulomb, par MSH-Alpes -2008</ref>.
[[File:Hôtel de Cuillé.jpg|250px|right|thumb|L'hôtel de Cuillé]]
[[File:Hôtel de Cuillé.jpg|250px|right|thumb|L'hôtel de Cuillé]]
La promenade de la Motte avait été la deuxième promenade aménagée à Rennes, dans la 2e moitié du 17e siècle, après celle du Mail. Son rôle attractif, au 18e siècle après la reconstruction de la ville, se manifesta par les projets de rénovation et d'agrandissement dont elle fit l'objet. Le projet de Mousseux ([[1729]]), se présente sous la forme d'un cours, qui épouserait les contours de l'enceinte, prolongé à la porte de la [[rue des Francs-Bourgeois]]. Celui de l'ingénieur de la ville Abeille ([[1739]]) adoptait un plan régulier où les plantations suivent un tracé en ellipse sur la grande Motte, distincte de la petite Motte dotée d'un parterre. Ce choix s'explique par la création d'une seconde promenade, au [[port de Viarmes]].  
La promenade de la Motte avait été la deuxième promenade aménagée à Rennes, dans la 2e moitié du 17e siècle, après celle du Mail. Son rôle attractif, au 18e siècle après la reconstruction de la ville, se manifesta par les projets de rénovation et d'agrandissement dont elle fit l'objet. Le projet de Mousseux ([[1729]]), se présente sous la forme d'un cours, qui épouserait les contours de l'enceinte, prolongé à la porte de la [[rue des Francs-Bourgeois]]. Celui de l'ingénieur de la ville Abeille ([[1739]]) adoptait un plan régulier où les plantations suivent un tracé en ellipse sur la grande Motte, distincte de la petite Motte dotée d'un parterre. Ce choix s'explique par la création d'une seconde promenade, au [[port de Viarmes]].  


La Motte forme un cadre attrayant comme le montre la construction de plusieurs hôtels dès la fin du 17e siècle. Dotée d'un escalier monumental ([[1826]]) destiné à racheter la pente du terrain, après la démolition du portail et d'une portion de tour carrée, restes de l'église Saint-Georges, de la porte du même nom et de la petite Motte, pour permettre l'ouverture de la ''rue Louis-Philippe'', future rue Victor-Hugo, la promenade devient le coeur d'un nouveau quartier résidentiel réalisé par l'architecte Louis Richelot, dans les années [[1830]].<ref> Inventaire topographique, par Isabelle Barbedor -1998</ref>
La Motte forme un cadre attrayant comme le montre la construction de plusieurs hôtels dès la fin du 17e siècle. Dotée d'un escalier monumental ([[1826]]) destiné à racheter la pente du terrain, après la démolition du portail et d'une portion de tour carrée, restes de l'église Saint-Georges, de la porte du même nom et de la petite Motte, pour permettre l'ouverture de la ''rue Louis-Philippe'', future rue Victor-Hugo, la promenade devient le cœur d'un nouveau quartier résidentiel réalisé par l'architecte Louis Richelot, dans les années [[1830]]<ref>Inventaire topographique, par Isabelle Barbedor -1998</ref>.


===Puis moins au 19e siècle===
===Puis moins au 19e siècle===


Le [[Parc du Thabor|jardin du Thabor]] ouvert au public après la Révolution et très en vogue sous la Restauration et la Monarchie de Juillet, compromit l'utilité de la Motte. Arrivant à Rennes en 1820, le voyageur Régis Jean Vaysse de Villiers, <ref>''Rennes dans les guides de voyage du 19e siècle'' , par Etienne Maignen. Bulletin et mémoires de la Société archéologique et historique d'Ille-et-Vilaine. t.CXII -2008</ref> après avoir remarqué qu'on ne sait où se termine le faubourg de Paris et où commence la ville, donne à celle-ci comme point de départ "''la petite promenade de la Motte, qu'on longe à gauche, en tournant à droite. Elle forme le grâcieux vis-à-vis du bel hôtel de l'intendance, aujourd'hui la préfecture, situé de l'autre côté de la rue qui, dans cette partie, devient une petite place''".<ref> ''Rennes dans les guides de voyage du XIXe siècle'', par Etienne Maignen, bulletin et mémoires de la Société archéologique et historique d'Ille-et-Vilaine, t. CII - 2008</ref> Plus bas à l'est, rue Martenot, rue riveraine, sont construits entre 1830 et 1843, de beaux hôtels particiliers d'architecture néo-classique (hôtels Richelot, de Courcy, Villemain).
Le [[Parc du Thabor|jardin du Thabor]] ouvert au public après la Révolution et très en vogue sous la Restauration et la Monarchie de Juillet, compromit l'utilité de la Motte. Arrivant à Rennes en 1820, le voyageur Régis Jean Vaysse de Villiers<ref>''Rennes dans les guides de voyage du 19e siècle'', par Etienne Maignen. Bulletin et mémoires de la Société archéologique et historique d'Ille-et-Vilaine. t.CXII -2008</ref>, après avoir remarqué qu'on ne sait où se termine le faubourg de Paris et où commence la ville, donne à celle-ci comme point de départ "''la petite promenade de la Motte, qu'on longe à gauche, en tournant à droite. Elle forme le gracieux vis-à-vis du bel hôtel de l'intendance, aujourd'hui la préfecture, situé de l'autre côté de la rue qui, dans cette partie, devient une petite place''"<ref>''Rennes dans les guides de voyage du XIXe siècle'', par Etienne Maignen, bulletin et mémoires de la Société archéologique et historique d'Ille-et-Vilaine, t. CII - 2008</ref>. Plus bas à l'est, rue Martenot, rue riveraine, sont construits entre 1830 et 1843, de beaux hôtels particuliers d'architecture néo-classique (hôtels Richelot, de Courcy, Villemain).


Au milieu du 19e siècle, un Rennais dresse le constat :"''La Motte, telle qu'elle existe de nos jours, est plutôt une esplanade qu'une promenade publique. Trop voisine du Thabor pour qu'on s'y arrête quand une fois on est sorti du centre de la ville, trop éloignée de celui-ci pour servir de promenoir public, la Motte sera utilisée tôt ou tard pour la construction de quelque grand établissement municipal. Déjà l'on a songé à y placer le bâtiment universitaire qui s'élève définitivement sur les quais'' ( N.B :actuellement [[Musée des Beaux-Arts]]) ''et quelques années plus tôt on voulut y bâtir le théâtre''."<ref> ''Rennes Moderne'', par A. Marteville. t.2. Deniel et Verdier - 1849</ref> Et Alfred de Courcy d'ironiser sur la ville et sur la Motte :
Au milieu du 19e siècle, un Rennais dresse le constat :"''La Motte, telle qu'elle existe de nos jours, est plutôt une esplanade qu'une promenade publique. Trop voisine du Thabor pour qu'on s'y arrête quand une fois on est sorti du centre de la ville, trop éloignée de celui-ci pour servir de promenoir public, la Motte sera utilisée tôt ou tard pour la construction de quelque grand établissement municipal. Déjà l'on a songé à y placer le bâtiment universitaire qui s'élève définitivement sur les quais'' ( N.B :actuellement [[Musée des Beaux-Arts]]) ''et quelques années plus tôt on voulut y bâtir le théâtre''."<ref> ''Rennes Moderne'', par A. Marteville. t.2. Deniel et Verdier - 1849</ref> Et Alfred de Courcy d'ironiser sur la ville et sur la Motte :
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" ''Rennes semble merveilleusement représentée par ces fontaines arides qui décorent la plateforme de la Motte. Canaux, bassins, beaux gradins de pierre où la naïade devrait s'épancher en cascades, rien n'a été oublié. Il n'y manque qu'une chose, mais cette chose c'est l'eau''".
" ''Rennes semble merveilleusement représentée par ces fontaines arides qui décorent la plateforme de la Motte. Canaux, bassins, beaux gradins de pierre où la naïade devrait s'épancher en cascades, rien n'a été oublié. Il n'y manque qu'une chose, mais cette chose c'est l'eau''".


Le déplacement de l'escalier monumental banalisa la promenade qui devint un petit jardin public sans grande fréquentation.  
Le déplacement de l'escalier monumental banalisa la promenade qui devint un petit jardin public sans grande fréquentation.  
Au n° 1, côté ouest du Contour, à l'angle de la rue Victor-Hugo, fut construit en [[1878]], par l'architecte Michel Gelly, un immeuble de rapport à huit travées, avec rez-de-chaussée, entresol et deux étages, le premier souligné par un grand balcon courant sur toute la longueur de la façade, les deux premiers niveaux en calcaire travaillé en bossage, l'accès à l'immeuble se faisant par une porte cochère monumentale avec deux cariatides symbolisant la race noire et la race blanche, oeuvre du sculpeur Pierre Resnays, qui étonnaient l'écrivain [[Jean de La Varende]], hôte de cet immeuble de 1899 à 1905, comme le rappelle une plaque apposée<ref>''Rennes au XIXe siècle architectes, urbanisme et architecture'', par Jean-Yves Veillard, éditions du Thabor - 1978</ref>. En face, au n° 2, l'hôtel de Cuillé fit l'objet, en 1885, d'une extension au nord-ouest, sur les plans de l'architecte Jobbé-Duval.
Au n° 1, côté ouest du Contour, à l'angle de la rue Victor-Hugo, fut construit en [[1878]], par l'architecte Michel Gelly, un immeuble de rapport à huit travées, avec rez-de-chaussée, entresol et deux étages, le premier souligné par un grand balcon courant sur toute la longueur de la façade, les deux premiers niveaux en calcaire travaillé en bossage, l'accès à l'immeuble se faisant par une porte cochère monumentale avec deux cariatides symbolisant la race noire et la race blanche, œuvre du sculpteur Pierre Resnays, qui étonnaient l'écrivain [[Jean de La Varende]], hôte de cet immeuble de 1899 à 1905, comme le rappelle une plaque apposée<ref>''Rennes au XIXe siècle architectes, urbanisme et architecture'', par Jean-Yves Veillard, éditions du Thabor - 1978</ref>. En face, au n° 2, l'hôtel de Cuillé fit l'objet, en 1885, d'une extension au nord-ouest, sur les plans de l'architecte Jobbé-Duval.
===La réunion du 2 juin 1788===
===La réunion du 2 juin 1788===
Au bas du contour, au n°2, se trouve ''l'[[hôtel de Cuillé]]'' dont l'entrée est précédée d'un large porche massif voûté. Le 2 juin 1788, le Palais du Parlement ayant été fermé par les ordres de M. de Thiard, commandant militaire à Rennes, les parlementaires ayant protesté contre des édits royaux attentatoires aux libertés provinciales et enregistrés de force, le Parlement, auquel il avait été défendu de siéger, se réunit quand même à l'hôtel Cuillé, qui est aussitôt cerné par la troupe. Malgré cela, la Cour délibère avec calme dans le salon qui aboutit à la Motte, d'où l'on entend les cris du peuple aux prises avec les soldats.
Au bas du contour, au n°2, se trouve ''l'[[hôtel de Cuillé]]'' dont l'entrée est précédée d'un large porche massif voûté. Le 2 juin 1788, le Palais du Parlement ayant été fermé par les ordres de M. de Thiard, commandant militaire à Rennes, les parlementaires ayant protesté contre des édits royaux attentatoires aux libertés provinciales et enregistrés de force, le Parlement, auquel il avait été défendu de siéger, se réunit quand même à l'hôtel Cuillé, qui est aussitôt cerné par la troupe. Malgré cela, la Cour délibère avec calme dans le salon qui aboutit à la Motte, d'où l'on entend les cris du peuple aux prises avec les soldats.
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Le square est aussi devenu un lieu de mémoire dans sa partie maintenant dénommée [[place de l'Ordre national du Mérite]]. On y trouve, à l'est, une stèle aux morts du 41e Régiment d'infanterie. Le monument aux morts d'Ille-et-Vilaine, qui avait été érigé en [[1896]] en bordure du [[boulevard de la Liberté]], y a été implanté en 2007, en partie est, et, latéralement en bordure du square, [[Fichier:Stele_du_memorial_afn.jpeg|250px|right|thumb|Une des six faces gravées des trois stèles du mémorial aux morts d'AFN]] un mémorial composé de trois stèles de granit bleu de {{w|Lanhélin}}  fut inauguré le 8 septembre 2012, en souvenir des 339 enfants d'Ille-et-Vilaine morts pour la France de 1952 à 1962 pendant la guerre d'Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie.
Le square est aussi devenu un lieu de mémoire dans sa partie maintenant dénommée [[place de l'Ordre national du Mérite]]. On y trouve, à l'est, une stèle aux morts du 41e Régiment d'infanterie. Le monument aux morts d'Ille-et-Vilaine, qui avait été érigé en [[1896]] en bordure du [[boulevard de la Liberté]], y a été implanté en 2007, en partie est, et, latéralement en bordure du square, [[Fichier:Stele_du_memorial_afn.jpeg|250px|right|thumb|Une des six faces gravées des trois stèles du mémorial aux morts d'AFN]] un mémorial composé de trois stèles de granit bleu de {{w|Lanhélin}}  fut inauguré le 8 septembre 2012, en souvenir des 339 enfants d'Ille-et-Vilaine morts pour la France de 1952 à 1962 pendant la guerre d'Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie.


===Sur la carte===
== Sur la carte ==
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{{#display_points: Contour de la Motte, Rennes |width=450|zoom=14}}


===Références===
== Références ==
<references/>
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