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L' '''allée Marie Berhaut''', située en zone d'activités nord de Rennes, part de la [[rue Bahon-Rault]] et aboutit non loin de l'[[allée Armand Rébillon]] qui longe le [[canal d’Ille-et-Rance]]. | L' '''allée Marie Berhaut''', située en zone d'activités nord de Rennes, part de la [[rue Bahon-Rault]] et aboutit non loin de l'[[allée Armand Rébillon]] qui longe le [[canal d’Ille-et-Rance]]. Elle fut dénommée par délibération du conseil municipal de la ville de Rennes le 5 février 2001. | ||
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Conservatrice du musée des Beaux-Arts de Rennes, après la guerre, de 1949 à 1964, Marie Berhaut y revit complètement la présentation des collections et les ouvrit à la modernité. Elle porta grand intérêt à | Conservatrice du musée des Beaux-Arts de Rennes, après la guerre, de 1949 à 1964, Marie Berhaut y revit complètement la présentation des collections et les ouvrit à la modernité. Elle porta grand intérêt à l’œuvre de Gustave Caillebotte, "l'homme de sa vie", publiant "Caillebotte l'impressionnisme", en 1968, et peu après sa mort, fin décembre 1993, parut le catalogue raisonné du peintre. | ||
C'est elle, également, qui, en 1955, identifia un tableau trouvé dans une famille rennaise comme œuvre de Georges De La Tour. La toile désormais connue sous le titre de ''Femme à la puce'' fut immédiatement achetée par le Musée historique lorrain de Nancy<ref>Voir la reproduction dans l'article {{w|Georges_de_La_Tour}} de Wikipédia.</ref>. | C'est elle, également, qui, en 1955, identifia un tableau trouvé dans une famille rennaise comme œuvre de Georges De La Tour. La toile désormais connue sous le titre de ''Femme à la puce'' fut immédiatement achetée par le Musée historique lorrain de Nancy<ref>Voir la reproduction dans l'article {{w|Georges_de_La_Tour}} de Wikipédia.</ref>. | ||
