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Il écrit un portrait au vitriol d’André Gide, ''À la recherche d’André Gide'', publié en 1952, qui lui vaudra l'animosité des admirateurs de l'écrivain, s’installe chez Roger Martin du Gard et écrit ''L’Âge d’or'', dans lequel il évoque son homosexualité. L’année suivante c'est un livre sur son parcours politique, ''La Ligne de force''. Cocaïnomane, soutenu d'abord financièrement par la veuve de l'écrivain, il mourra à Cabris après une hémiplégie, oublié et quasiment dans la misère. Sa tombe est à l'Image de sa fin de vie.<ref> ''Pierre Herbart, l'orgueil du dépouillement'', de Jean-Luc Moreau, éd. Grasset - 2014</ref> | Il écrit un portrait au vitriol d’André Gide, ''À la recherche d’André Gide'', publié en 1952, qui lui vaudra l'animosité des admirateurs de l'écrivain, s’installe chez Roger Martin du Gard et écrit ''L’Âge d’or'', dans lequel il évoque son homosexualité. L’année suivante c'est un livre sur son parcours politique, ''La Ligne de force''. Cocaïnomane, soutenu d'abord financièrement par la veuve de l'écrivain, il mourra à Cabris après une hémiplégie, oublié et quasiment dans la misère. Sa tombe est à l'Image de sa fin de vie.<ref> ''Pierre Herbart, l'orgueil du dépouillement'', de Jean-Luc Moreau, éd. Grasset - 2014</ref> | ||
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La revue ''Place Publique'' <ref> ''Pourquoi Rennes ignore Le Vigan'', par Georges Guitton, dans Place Publique, N° 30, - juillet-août 2014</ref> a rappelé, en juillet 2014, le rôle de cet homme étrange qui y est qualifié de "gêneur politique". De fait, souligne clairement l'article, ni le colonel de Chevigné, gouverneur militaire, ni Jean Marin, ni Henri Fréville ne le citent dans leurs ouvrages, et de poser la question :" Est-ce pour ces raisons que le nom d'Herbart - le Vigan n'est pas une seule fois mentionné dans les livres de souvenirs couvrant la période de la Libération de Rennes ?" | La revue ''Place Publique'' <ref> ''Pourquoi Rennes ignore Le Vigan'', par Georges Guitton, dans Place Publique, N° 30, - juillet-août 2014</ref> a rappelé, en juillet 2014, le rôle de cet homme étrange qui y est qualifié de "gêneur politique". De fait, souligne clairement l'article, ni le colonel de Chevigné, gouverneur militaire, ni Jean Marin, ni Henri Fréville ne le citent dans leurs ouvrages, et de poser la question :" Est-ce pour ces raisons que le nom d'Herbart - le Vigan n'est pas une seule fois mentionné dans les livres de souvenirs couvrant la période de la Libération de Rennes ?" Par délibération du conseil municipal de Rennes en date du 30 janvier 2017, une rue de la ZAC de la Courrouze porte son nom au titre de romancier - Résistant - organisateur de la Libération de Rennes. | ||
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