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La ''ruelle de la Moussaye'' fut élargie et rectifiée sur la proposition en 1863 d'Auguste Letarouilly, l'un des propriétaires riverains. Il légua les terrains nécessaires par testament de 1866, à la condition que la ville s'engageât à la construire dans un délai de dix ans suivant sa mort, survenue en 1868. La construction de l´égout fut faite en 1872, au moment de la construction de la rue qui ne fut dotée de trottoirs et de caniveaux qu'en 1915<ref>''Inventaire topographique de Rennes'', par Isabelle Barbedor - 1999</ref>. Tout le côté sud de la rue est occupé par le C.R.O.U.S et la faculté des sciences économiques, précédemment faculté des Lettres, et auparavant séminaire diocésain lequel avait succédé à un monastère de carmélites. | La ''ruelle de la Moussaye'' fut élargie et rectifiée sur la proposition en 1863 d'Auguste Letarouilly, l'un des propriétaires riverains. Il légua les terrains nécessaires par testament de 1866, à la condition que la ville s'engageât à la construire dans un délai de dix ans suivant sa mort, survenue en 1868. La construction de l´égout fut faite en 1872, au moment de la construction de la rue qui ne fut dotée de trottoirs et de caniveaux qu'en 1915<ref>''Inventaire topographique de Rennes'', par Isabelle Barbedor - 1999</ref>. Tout le côté sud de la rue est occupé par le C.R.O.U.S et la faculté des sciences économiques, précédemment faculté des Lettres, et auparavant séminaire diocésain lequel avait succédé à un monastère de carmélites. | ||
Jusqu'à la construction de la Barre Saint-Just, on trouvait également côté nord la "Centrale" devenue ensuite "Paroisse" des étudiants catholiques, dont les derniers animateurs, au début des années 60, ont été l'abbé {{w|Louis Simonneaux}}, devenu ensuite vicaire épiscopal puis évêque de Versailles, puis l'abbé Raymond Letertre. Le n° 19 de la rue servit en 1944 de cantonnement à la sinistre {{w|Bezen Perrot}} composée de Bretons engagés dans l'armée allemande. | Jusqu'à la construction de la Barre Saint-Just, on trouvait également côté nord la "Centrale" devenue ensuite "Paroisse" des étudiants catholiques, dont les derniers animateurs, au début des années 60, ont été l'abbé {{w|Louis Simonneaux}}, devenu ensuite vicaire épiscopal puis évêque de Versailles, puis l'abbé Raymond Letertre. Le n° 19 de la rue servit en 1944 de cantonnement à la sinistre {{w|Bezen Perrot}} composée de Bretons engagés dans l'armée allemande.<ref>[[le Bezen Perrot quitte Rennes]]</ref> | ||
Sa dénomination rappelle la mémoire de : | Sa dénomination rappelle la mémoire de : |
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