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Plusieurs changements s'opèrent à partir de la deuxième moitié du XIXe siècle. Les pouvoirs publics locaux se préoccupent de la sécurité en autorisant les « bains publics sur les endroits guéables », en imposant la présence d’un maître-nageur et en mettant en place « les secours aux noyés ». Par ailleurs, l'émergence de la baignade « loisirs » s'accompagne d’une délimitation de son espace : elle s'aménage progressivement rive droite avec enclos, escaliers, hangar, plantation d’arbres… | Plusieurs changements s'opèrent à partir de la deuxième moitié du XIXe siècle. Les pouvoirs publics locaux se préoccupent de la sécurité en autorisant les « bains publics sur les endroits guéables », en imposant la présence d’un maître-nageur et en mettant en place « les secours aux noyés ». Par ailleurs, l'émergence de la baignade « loisirs » s'accompagne d’une délimitation de son espace : elle s'aménage progressivement rive droite avec enclos, escaliers, hangar, plantation d’arbres… | ||
Au début du XXe siècle, les préoccupations hygiénistes de la municipalité poussent à la construction de bains douches et de la piscine Saint-Georges en 1923 et limitent l'usage des baignades en eaux vives aux loisirs. [[Fichier:1671W6 plan baignade militaire 1896 details.jpg|thumb|Plan de baignade militaire, détail, 1896. Archives de Rennes, 1671 W 6.|left|307x307px]] | Au début du XXe siècle, les préoccupations hygiénistes de la municipalité poussent à la construction de bains douches et de la [[piscine Saint-Georges]] en 1923 et limitent l'usage des baignades en eaux vives aux loisirs. [[Fichier:1671W6 plan baignade militaire 1896 details.jpg|thumb|Plan de baignade militaire, détail, 1896. Archives de Rennes, 1671 W 6.|left|307x307px]] | ||
Après-guerre, les déchets toxiques déversés par les industries installées Plaine de Baud, joints au « déversement des eaux usées » de l’asile Saint-Méen, rendront dangereuse la baignade dans la Vilaine à Rennes et signent définitivement l’arrêt de la baignade du Gué-de-Baud, en 1949. {{Au fil de l'eau}} | Après-guerre, les déchets toxiques déversés par les industries installées Plaine de Baud, joints au « déversement des eaux usées » de l’asile Saint-Méen, rendront dangereuse la baignade dans la Vilaine à Rennes et signent définitivement l’arrêt de la baignade du Gué-de-Baud, en 1949. {{Au fil de l'eau}} | ||
[[Catégorie:Mémoires Baud-Chardonnet]] | [[Catégorie:Mémoires Baud-Chardonnet]] | ||
{{DEFAULTSORT:e07}} | {{DEFAULTSORT:e07}} |
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