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Le 1er janvier 1898 ''Le Siècle'' publie une lettre de Jules Andrade<ref>[[rue Jules Andrade]]</ref>, professeur de mathématiques à la Faculté des Sciences de Rennes, adressée au général Mercier, son camarade à l'École Polytechnique qui était ministre de la Guerre lors de la condamnation d'[[Alfred Dreyfus]]. Il y tire argument de la découverte d'une nouvelle écriture plus ressemblante à celle du bordereau que celle du condamné trois ans auparavant, y demande une révision du procès et annonce que "la vérité on l'aura". De plus, une "pétition des intellectuels" , parue dans ''L'Aurore'' est signée par trois professeurs des facultés rennaises : Victor Basch, professeur d'allemand, Henri Sée<ref>[[rue Henri Sée]]</ref>, professeur d'histoire, Jules Aubry, professeur de droit, rejoints par Jacques Cavalier et Pierre Weiss, collègues d'Andrade, puis par Georges Dottin<ref>[[rue Georges Dottin]]</ref>. Il en résulte à Rennes une émotion considérable. | Le 1er janvier 1898 ''Le Siècle'' publie une lettre de Jules Andrade<ref>[[rue Jules Andrade]]</ref>, professeur de mathématiques à la Faculté des Sciences de Rennes, adressée au général Mercier, son camarade à l'École Polytechnique qui était ministre de la Guerre lors de la condamnation d'[[Alfred Dreyfus]]. Il y tire argument de la découverte d'une nouvelle écriture plus ressemblante à celle du bordereau que celle du condamné trois ans auparavant, y demande une révision du procès et annonce que "la vérité on l'aura". De plus, une "pétition des intellectuels" , parue dans ''L'Aurore'' est signée par trois professeurs des facultés rennaises : Victor Basch, professeur d'allemand, Henri Sée<ref>[[rue Henri Sée]]</ref>, professeur d'histoire, Jules Aubry, professeur de droit, rejoints par Jacques Cavalier et Pierre Weiss, collègues d'Andrade, puis par Georges Dottin<ref>[[rue Georges Dottin]]</ref>. Il en résulte à Rennes une émotion considérable. |
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