24 653
modifications
mAucun résumé des modifications |
mAucun résumé des modifications |
||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
La '''rue Lesage''', ouverte vers 1870 sur l'emplacement de la ''ruelle de le Moussaye'' et de la ''ruelle Lancezeur'' est une voie ouest-est joignant la [[rue de l'Hôtel Dieu]] et la [[place Saint-Jean Eudes]] au carrefour formé par le [[boulevard de Sévigné]], la [[rue Général Maurice Guillaudot]] et la [[rue Jean Guéhenno]] où se dresse, côté nord, l'immeuble de la [[Barre Saint-Just]] | La '''rue Lesage''', ouverte vers 1870 sur l'emplacement de la ''ruelle de le Moussaye'' et de la ''ruelle Lancezeur'' est une voie ouest-est joignant la [[rue de l'Hôtel Dieu]] et la [[place Saint-Jean Eudes]] au carrefour formé par le [[boulevard de Sévigné]], la [[rue Général Maurice Guillaudot]] et la [[rue Jean Guéhenno]] où se dresse, côté nord, l'immeuble de la [[Barre Saint-Just]]. | ||
Les archives communales signalaient le mauvais état de la ''ruelle de Lancezeur'', en 1860, au moment de la construction du séminaire. | Les archives communales signalaient le mauvais état de la ''ruelle de Lancezeur'', en 1860, au moment de la construction du séminaire. | ||
Ligne 5 : | Ligne 5 : | ||
La ''ruelle de la Moussaye'' fut élargie et rectifiée sur la proposition en 1863 d'Auguste Letarouilly, l'un des propriétaires riverains. Il légua les terrains nécessaires par testament de 1866, à la condition que la ville s'engageât à la construire dans un délai de dix ans suivant sa mort, survenue en 1868. La construction de l´égout fut faite en 1872, au moment de la construction de la rue qui ne fut dotée de trottoirs et de caniveaux qu'en 1915<ref>''Inventaire topographique de Rennes'', par Isabelle Barbedor - 1999</ref>. Tout le côté sud de la rue est occupé par le C.R.O.U.S et la faculté des sciences économiques, précédemment faculté des Lettres, et auparavant séminaire diocésain lequel avait succédé à un monastère de carmélites. | La ''ruelle de la Moussaye'' fut élargie et rectifiée sur la proposition en 1863 d'Auguste Letarouilly, l'un des propriétaires riverains. Il légua les terrains nécessaires par testament de 1866, à la condition que la ville s'engageât à la construire dans un délai de dix ans suivant sa mort, survenue en 1868. La construction de l´égout fut faite en 1872, au moment de la construction de la rue qui ne fut dotée de trottoirs et de caniveaux qu'en 1915<ref>''Inventaire topographique de Rennes'', par Isabelle Barbedor - 1999</ref>. Tout le côté sud de la rue est occupé par le C.R.O.U.S et la faculté des sciences économiques, précédemment faculté des Lettres, et auparavant séminaire diocésain lequel avait succédé à un monastère de carmélites. | ||
Jusqu'à la construction de la Barre Saint-Just, on trouvait également côté nord la "Centrale" devenue ensuite "Paroisse" des étudiants catholiques, dont les derniers animateurs, au début des années 60, ont été l'abbé {{w|Louis Simonneaux}}, devenu ensuite vicaire épiscopal puis évêque de Versailles, puis l'abbé Raymond Letertre. | Jusqu'à la construction de la Barre Saint-Just, on trouvait également côté nord la "Centrale" devenue ensuite "Paroisse" des étudiants catholiques, dont les derniers animateurs, au début des années 60, ont été l'abbé {{w|Louis Simonneaux}}, devenu ensuite vicaire épiscopal puis évêque de Versailles, puis l'abbé Raymond Letertre. Le n° 19 de la rue servit en 1944 de cantonnement à la sinistre {{w|Bezen Perrot}} composée de Bretons engagés dans l'armée allemande. | ||
Sa dénomination rappelle la mémoire de : | Sa dénomination rappelle la mémoire de : |
modifications